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Aperçu des critiques de la presse Internet (sortie vod, dvd et blu-ray Massacres dans le train fantôme):
"Les fêtes foraines ont toujours été le lieu de fantasmes plus ou moins sordides. (...) Massacres dans le Train fantôme s'oriente clairement vers la série B d'épouvante classique. (...) le cinéaste pointe du doigt le macabre par le biais d'un climat malsain et assez oppressant." Horreur.net - Gore Maniac "Tobe Hooper a choisi ici de décrire une véritable atmosphère d'angoisse, qui va crescendo au fur et à mesure que les héros du film vont découvrir la peur de la nuit et l'existence de diverses sources de terreur. La photographie est très soignée, les acteurs sont parfaitement dirigés par un Tobe Hooper passé maître dans la mise en place d'une atmosphère d'authentique panique." Telerama "Massacres dans le Train fantôme est un petit film plutôt sympa (...), qui exploite gentillement l'aspect cradingue du monde des forains, avec une espèce de monstre dégénéré mongoloïde qui dégomme des teens dans un train fantôme la nuit. Notons que si ce monstre manque d'organisation et est très brouillon (contrairement au tueur de Carnage, rigoureux, efficace et méthodique), il compense par son énergie, son bouillonnement intérieur." Hollywood80 - Pierre "Sans être terriblement effrayant, Massacres dans le Train fantôme baigne dans un climat propice au frisson, et fait indéniablement partie des meilleures réussites de Tobe Hooper, cinéaste trop irrégulier pour mériter son statut de réalisateur phare de l'horreur." Horreur.net - Gore Maniac "Considéré dès son premier long-métrage, le traumatisant Massacre à la Tronçonneuse, comme un des grands maîtres de l'épouvante, le réalisateur Tobe Hooper a fait face à des critiques qui lui ont reproché de n'avoir pas réitéré son coup de génie et de s'être laissé peu à peu aspiré par une industrie hollywoodienne qui aurait formaté son cinéma et édulcoré ses thèmes de prédilection. Massacres dans le Train fantôme n'a pas échappé à la règle et reste considéré aujourd'hui comme un film mineur dans la filmographie en dents de scie d'un auteur variablement inspiré. Pourtant, à y regarder de plus près, tout Tobe Hooper se trouve inclus dans ce Funhouse qui doit faire l'objet d'une réévaluation, et ceci en dépit de ses réels - et indéniables - défauts." Avoir Alire "Une fête foraine inquiétante vire au cauchemar. Des éclairages travaillés à chaque plan sont parsemés de couleurs gothiques allant du rouge saturé au vert glauque. (...) Le film va osciller entre le grotesque et la peur." Devil Dead "A mi-chemin entre slasher et survival, Massacres dans le Train fantôme se distingue (...) par le biais d'une peinture réaliste et réfléchie de milieu dans lequel évoluent les personnages. Cet essai est dans la lignée du film culte hooperien, et, s'il ne convainc pas toujours, fait montre d'un décalage salvateur à bien des égards." Cinéma Fantastique "Je suis contre les films dont l'action commence dès les premières minutes pour ne s'arrêter qu'avec le générique, j'aime quand les réalisateurs prennent le temps de nous familiariser avec les lieux, les personnages principaux, blindant l'intro de petites scènes dont on se fout complètement mais qui, si elles sont bien faites, nous permettent de nous attacher aux protagonistes. Mais ici, ils mettent bien 40 minutes avant d'entrer dans le train fantôme et facilement dix de plus avant qu'il ne se passe vraiment quelque chose. Quant aux meurtres, bah. Ils sont quatre, je vous laisse imaginer la vitesse à laquelle tout se déroule. Sachant qu'il faut bien un survivant, ça nous laisse trois morts sans grand intérêt (puisqu'elles se passent surtout hors champ) et beaucoup de rien entre chaque évènement." Le Blog Horreur "Une heure durant, Hooper ne propose strictement rien, se contentant de suivre ses personnages principaux dans leur conformisme de slasher. Et voilà, le mot est lâché : le slasher, qu'Hooper cherchait à éviter, ou tout du moins à détourner. Les quatre jeunes ayant investi le train fantôme ne sont rien d'autre que l'habituelle chair à machette que l'on retrouve dans tant d'autres films nés de la mouvance des Vendredi 13. L'héroïne est une vierge, son copain est patient, et les deux autres sont des baisouilleurs facétieux. Quel calvaire que de suivre ces abrutis là ! Hooper, en sortant son tueur du schéma des slashers mais en y inscrivant ses personnages, prend son temps à faire démarrer les meurtres. Conséquence : on s'ennuie copieusement." Tortillapolis |
Synopsis usuel:
Deux jeunes couples d’amis décident de passer une soirée à la fête foraine qui vient juste de s’installer dans la région. Après avoir fait le tour de quelques attractions, ils se lancent le défi de passer la nuit dans le train fantôme. Une fois à l’intérieur, ils assistent à un meurtre brutal commis par un homme portant un masque du monstre de Frankenstein. Devenus des proies et piégés dans l’attraction, ils vont bientôt découvrir l’abomination qui se cache sous le masque du tueur. |
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