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Aperçu des critiques de la presse Internet (sortie dvd Pleasantville):
"Une télécommande magique fait entrer un adolescent avec sa soeur dans le monde de Pleasantville, une vieille série familiale en noir et blanc des années 50. Sa connaissance parfaite de la série va lui permettre de s'intégrer parmi les personnages bien mieux que dans la réalité, mais son humanité et la fougue de sa soeur vont également bouleverser l'univers aseptisé et lisse de ce paradis artificiel." Les Inrocks "L'idée du scénario est simple comme bonjour : on a tous souhaité de se retrouver dans notre série ou film favori (personnellement j'aurais adoré me retrouver dans Friends, rien que pour les vannes de Chandler Bing et boire un bon café dans le canapé du Central Perk). Juste pour nous évader de notre morne réalité." Le Kamikaze de l'écran "Sur la base d'une histoire fantaisiste, à mi chemin entre science-fiction et conte de fée, le film est loin d'être aussi simpliste et léger que l'on ne peut s'imaginer. C'est une véritable réflexion sur notre société actuelle ! " Le Kamikaze de l'écran "C'est surtout dans le dénouement que l'on voit le côté visionnaire de Pleasantville ressortir, puisque oui, c'est un film visionnaire ! " Les Critiques du Critique "Je me suis bien amusé à voir les comparaisons entre la mentalité du monde d'aujourd'hui et celle d'autrefois. Il est vrai que la société des années 50 est stéréotypée à l'extrême, mais c'est étrangement ça le plus amusant ! " Les Critiques du Critique "Les cinq premières minutes nous entraînent de façon prévisible dans le film typiquement adolescent, pour ensuite bifurquer dans une tout autre voie. L'heure et demie qui suit est un pur bonheur de cinéma : la réalisation est impeccable, agrémentée dune photographie superbe qui mélange habilement noir/blanc et couleurs, le rythme est totalement addictif, les interprètent s'amusent, l'histoire est prenante, et le contenu est brillant. Que demander de plus ? Dommage que le cinéaste perde de son inspiration dans la dernière demi-heure : en effet, la scène du tribunal, qui commence pourtant dune façon admirable, se révèle bien trop hâtive, trop raccourcie, trop édulcorée et trop bien-pensante, pour emporter ladhésion." Le Point Critique "(...) L'auteur s'exerce sur certains terrains plus glissants lorsqu'il dépeint notamment la ségrégation entre les colorés et les « noir et blanc » conduisant à des actes de sacages et à un autodafé, allégorie indélicate des nombreuses situations géopolitiques mondiales qui s'offrent ici le luxe de se poser comme une futilité rapidement résoluble. (...) Comédie légère aux fortes intrications sociopolitiques, Pleasantville s'affiche finalement beaucoup plus efficacement sur le terrain de l'humour que sur celui, plus tendancieux, de la fable politisée." Cinéma Fantastique "Après un début alerte et drôle, le film s'enlise dans les bons sentiments et une démagogie pénible" Les Inrocks "Dans cette Amérique utopique et rétro affichant la sagesse et la simplicité, les intrus sèment la zizanie, surtout la soeur qui ne pense qu'à s'envoyer en l'air. On frétille un moment, face aux scénarios virtuels qui s'ouvrent devant nous. Très vite, hélas, Gary Ross saborde son sujet, se trouve à court d'imagination. Il surligne les différences, substitue un sentimentalisme gnangnan à l'humour et, surtout, rejoint le droit chemin d'une morale conventionnelle. En gros : le frère et la soeur éveillent Pleasantville à la vie réelle, à l'art, à la tolérance, etc." Telerama - Jacques Morice |
Synopsis usuel:
David, naïf et rêveur, s’évade au quotidien grâce à « Pleasantville », un sitcom des années 50. Là-bas tout est calme et simplicité. A l’opposé, sa soeur jumelle Jennifer, impertinente et branchée, vit à fond dans son époque. Un soir, un étrange réparateur de télévision leur donne une télécommande qui les projette dans l’écran. Les voila obligés de vivre à Pleasantville, en noir et blanc, dans un autre monde et un autre temps ! Mais Jenny n’entend pas se soumettre à cette vie bien trop tranquille. Et bientôt, c’est Pleasantville qui se détraque ! |
Sortie ciné : 17 février 1999 Box office France: 113 092 entrées cinéma |
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