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Aperçu des critiques de la presse Internet (sortie vod, dvd Salt And Fire):
"Ce film hors norme impose une tonalité envoûtante dans sa dernière partie qui fait la part belle à l'image et la contemplation." La Croix "Déconcertant, Salt And Fire est qualifié « d'imprévisible » par son propre réalisateur qui voulait à travers de ce film construire quelque chose de très différent par rapport au cinéma hollywoodien plus classique." La Sueur "Au cours des 1 h 30, Werner Herzog arrive à chaque fois à nous surprendre et à nous dérouter à ce qu'on à l'habitude de voir dans le déroulement d'un récit cinématographique. De la prise d'otage qui se transforme en discussion philosophique à cette fin où le cinéaste semble retrouver son âme d'enfant en jouant avec la parfaite planitude de son décor, Salt And Fire a la volonté de vouloir changer notre regard sur le monde, mais aussi sur notre existence." La Sueur "Principalement actif dans le domaine du documentaire ces dernières années, le réalisateur allemand revient avec Salt And Fire à une forme de récit, qui est avant tout vecteur de folie. Sauf que l'aspect énigmatique, mi-monstrueux et mi-apaisant, du film s'amenuise au fur et à mesure que son intrigue part vers les contrées du délire doux, sur un îlot de quiétude trompeuse dans un océan de dérèglement environnemental." Critique Film "Après un premier quart d'heure plutôt accrocheur, le film s'abîme dans des dialogues maladroits, des symboles lourdauds et une direction d'acteurs incompréhensible. Michael Shannon, comédien si doué pourtant, est constamment à côté de la plaque." Telerama "Les ficelles de cette fable écologique sont grossières (...). Ce qui pèche n'est pas tant le scénario inepte que la lourdeur des dialogues (“La vérité est l'unique fille du temps”) et le ridicule des situations, dignes d'une série Z années 1980." Les Inrocks "Tout le monde, d'un Michael Shannon généralement excellent à une Veronica Ferres toujours pas très connue (et ça ne va pas s'arranger), défie ici les limites de l'insignifiance en matière d'actorat, récitant ses répliques sans trop y croire, singeant son personnage au lieu de l'incarner et prenant la pose dans de vastes décors solaires en oubliant les pages du scénario. (...) l'échec est total (...)." Abus de Ciné |
Synopsis usuel:
Une scientifique accuse le responsable d’une grande entreprise d’avoir provoqué un désastre écologique dans le désert de Bolivie. |
Sortie ciné : 7 décembre 2016 Box office France: 5 498 entrées cinéma |
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