Aperçu des critiques de la presse Internet (sortie dvd et blu-ray Les Misérables):
"La première partie du film est excellente. Sans doute conscient que sa prestation va être observée, Lino Ventura compose un Jean Valjean de haute volée. (...) Le point fort du film provient donc de son trio d'acteurs assez fabuleux et d'une réelle bonne volonté dans la retranscription de la dureté de l'époque et de la misère ambiante."
Box Office Story
"D'après Arnaud Laster, cette version des Misérables est la plus religieuse : « Le personnage de l'évêque Myriel [...] devient une figure majeure, c'est une façon de souligner la religiosité. Valjean est dépeint en figure christique, qui souffre et passe par une sorte de rédemption, il y a un retour très insistant sur la croix et le crucifix... »"
L'Obs
"Au début des années 80 Robert Hossein sait que sa carrière cinématographique est déclinante après un nombre impressionnant de films. Bien sûr Le Professionnel et Les uns et les autres ont cartonné, mais l'acteur n'a que de beaux seconds rôles. Il se tourne vers la conception de spectacles ambitieux et grandioses. En 1980, il propose la comédie musicale Les Misérables au Palais des Sports de Paris. Le succès dépasse les espérances avec plus de 500 000 spectateurs. La comédie musicale sera reprise et triomphera à New York et à Londres. Autant battre le fer pendant qu'il est chaud et l'adaptation cinématographique est mise en route."
Box Office Story
"Peut être est-ce du à un budget limité, mais le film possède une image très "téléfilm". (...) Robert Hossein ne parvient pas à tirer le film vers le haut, toujours pour des questions budgétaires. En dehors de quelques vues sur les rues de Paris de l'époque, les scènes de batailles lors des émeutes manquent un peu de panache."
Box Office Story
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Synopsis usuel:
Qui n’a pas rugi en lisant le récit du calvaire de Jean Valjean, envoyé au bagne pour avoir volé du pain ? Qui n’a pas pleuré en suivant la lente métamorphose du bagnard devenant un père aimant au contact de la bonté ? Qui n’a pas serré les poings lorsque les généraux révolutionnaires sont dos au mur ? Le génie de Victor Hugo n’a jamais été aussi bien servi que par le talent passionné de Robert Hossein, qui signe cette mise en images du plus beau roman du monde.
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