Aperçu des critiques de la presse Internet (sortie vod, dvd et blu-ray Courage, fuyons):
"La belle idée d'Yves Robert est d'avoir choisi un pleutre pour héros, en s'inspirant avec son scénariste Jean-Loup Dabadie de cette phrase de Jules Renard : « N'écoutant que son courage qui ne lui disait rien, il se garda d'intervenir. »"
Telerama
"Le film n'est sans doute pas aussi équilibré que d'autres grandes réussites d'Yves Robert (quelques longueurs et des transitions peu fluides dans les gros rebondissements) mais sa tendresse et l'originalité de son propos (la fin est réellement mémorable) en font une de ses œuvres les plus attachantes."
Les Chroniques de Cliffhanger & Co
"Courage, fuyons est avant tout un film d'hommes. Cela se retrouve dans la caractérisation des personnages féminins, qui apparaissent soit castratrices (Mathilda), soit désirables (Eva) soit un peu sottes (l'ex speakerine). Les personnages masculins n'en sortent pas grandis pour autant, tour à tour dépeints comme lâches, faibles, pingres, colériques, et j'en passe. Ce sont de grands enfants en quête de la femme dans les bras de laquelle ils se sentiront choyés, aimés et sécurisés."
Tortillaspolis
"La filmographie d'Yves Robert est peuplée d'homme-enfant pour lesquels la réalité et son quotidien sont des prisons qu'il faut fuir à toutes jambes."
Les Chroniques de Cliffhanger & Co
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Synopsis usuel:
Lâche depuis sa plus tendre enfance, Martin Belhomme, pharmacien quadragénaire, vit sous la domination de son épouse Mathilda et de son frère Frankie, un horrible avare. Mais au terme de cette vie monotone, survient mai 68, et sa lâcheté va paradoxalement le conduire dans une folle aventure, loin des siens, avec Eva, ravissante blonde chanteuse dans un cabaret d’Amsterdam. Dès lors, il fera tout son possible pour séduire la belle, et passer pour un aventurier à ses yeux.
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