Aperçu des critiques de la presse Internet (sortie vod, dvd Au Prix du Sang):
"Roland Joffé nous revient avec un récit tout en flash-backs, contant pour une fois la guerre civile espagnole uniquement du coté de l'oppresseur, au travers du double portrait, d'un prêtre refusant de prendre partie, et d'un traître, infiltré parmi les troupes républicaines."
Abus de Ciné
"Le film fait la navette entre le champ de bataille de 1936 et les années 70, où l'agent double, véritable crapule, à l'agonie, livre enfin sa vérité à son fils, journaliste."
Telerama
"Après deux décennies d'errements, Roland Joffé revient à un cinéma plus politique et surtout plus religieux. (...) Le film, intéressant, pèche in fine dans sa volonté excessive de marquer les sensibilités à force de beaux sentiments. Trop de beauté et de didactisme sentimentaliste pour traiter d'une page sombre et ambiguë de l'histoire, cela ne peut que détourner l'auteur de ses ambitions premières, réaliser une oeuvre pertinente."
Avoir Alire
"De manière un peu dérangeante, le film place sur le même plan les deux camps, appelés communiste et fasciste. Le portrait de Josemaría Escrivá se révèle trop superficiel. On parvient difficilement à s'attacher aux sorts de l'antipathique Manolo et de Roberto, monolithe de colère filiale. S'y ajoutent une mise en scène sirupeuse, une musique envahissante, un doublage affligeant, de gros plans sur le visage vieilli de Manolo qui semblent dire « Regardez le travail de la maquilleuse ! »"
La Croix
|
|
Synopsis usuel:
Au seuil de sa mort, Manolo finit par livrer à son fils le grand secret de sa vie : une mystérieuse Hongroise, Ildiko, dont il est tombé amoureux en pleine guerre civile espagnole, lui préférait l’un des chefs des brigades internationales, Oriol. Manolo, fou de jalousie, s’engage sur les chemins de la trahison, tandis que le Père Josémaria, ami d’enfance de Manolo, tente de réchapper à cette guerre fratricide…
|