|
|
|
vod
dvd
|
|
Aperçu des critiques de la presse Internet (sortie vod, dvd Laissez-passer):
"Un seul mot pour qualifier ce film : magistral ! C'est du grand art auquel se livre Bertrand Tavernier en rendant hommage au maîtres d'oeuvre du cinéma français sous l'occupation. Mise en scène brillante avec une caméra qui frôle les personnages et imprime un rythme soutenu et virevoltant. (...) Enfin, un scénario en béton qui vous scotche devant l'écran pendant près de trois heures." L'Oeil sur l'Ecran - Elle "Laissez-passer raconte la vie du monde du cinéma sous l'Occupation et se concentre sur les attitudes croisées de deux cinéastes et scénaristes de l'époque, Jean Aurenche et Jean Devaivre. Le film, a été écrit par Jean Cosmos et Bertrand Tavernier à partir des « Mémoires » - qui paraîtront en librairie au printemps - de Devaivre et des souvenirs de Jean Aurenche." La Dépêche "Le scénario de Laissez-passer est extrêmement dense et riche, et les quelque 2h50 du film passent sans aucune lenteur, sans aucun temps mort. Bertrand Tavernier fait preuve d'une grande maîtrise de la mise en scène, et cette maîtrise se ressent à tous les niveaux : caméra, éclairage, mise en place. Un véritable sans-faute qui donne un grand film passionnant." L'Oeil sur l'Ecran - Lui "C'est principalement à travers le regard de deux hommes, deux personnages aussi différents que complémentaires, qui incarnent deux formes de résistances apparemment différentes, que Tavernier tente de dresser le tableau d'un cinéma français de l'occupation." Objectif Cinéma "Sous l'apparence d'un film « sur » le cinéma des années noires, il ausculte avec finesse une société déboussolée." Telerama "Faire ce que l'on peut, ne pas fermer les yeux... Voilà peut-être tout simplement ce que vient nous dire Laissez-passer. Et il le fait avec une telle humanité, une telle simplicité, portées l'une et l'autre par une mise en scène sobre mais plus qu'élégante (et surtout, appropriée à son sujet), que l'on ne peut que rester admiratif devant le travail accompli par Bertrand Tavernier et tous ceux qui l'ont entouré sur ce projet. Pour résumer, une vraie réussite." Dvd Critiques "La plus grande surprise du film, pour qui a pratiqué quelque peu son histoire du cinéma sans pour autant la dominer, est de découvrir en Greven non le grand méchant loup de service qu'on supposait mais un esthète francophile capable de faire tourner un Jean-Paul Le Chanois en sachant qu'il est juif et communiste." L'Humanité "Tavernier a voulu, à travers ce film-hommage, montrer quels étaient les rapports ambigus qu'entretenaient certains cinéastes et scénaristes avec la Continental, firme allemande qui produisait des films français. Si l'entreprise est louable et en partie réussie, il faut admettre que l'objectivité n'est pas le fort de Tavernier et qu'il a volontairement mis à l'écart des cinéastes de l'époque défendu plus tard par les Cahiers pour s'en tenir qu'aux victimes de ces derniers." Le Quotidien du Cinéma "Le cinéaste résistant Jean Devaivre assigne en justice Bertrand Tavernier, auteur d'un film qui « reconstruit » ses mémoires." Libération |
Synopsis usuel:
Paris sous l’occupation. Pendant cette période sombre et incertaine, deux hommes essaient de survivre et de résister chacun à sa manière. Jean-Devaivre, assistant metteur en scène, travaille pour la Continental, firme cinématographique allemande, et s’investit délibérément pour mieux prendre part à la résistance qui s’organise clandestinement. Partagé entre ses trois maîtresses, le scénariste Jean Aurenche, de son côté, refuse obstinément toute forme de compromission avec les allemands et résiste en poète avec pour unique arme… sa plume. |
Sortie ciné : 9 janvier 2002 Box office France: 367 700 entrées cinéma |
|
|