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Aperçu des critiques de la presse Internet (sortie vod, dvd Ava):
"Ava est un premier film fascinant sur l'adolescence et la découverte de la sensualité." Les Inrocks "« Ava, ça veut dire “je désire”. Mais je désire quoi ? », dit la jeune fille. Cette question (...) exprime une forme de désarroi propre à la jeunesse d'aujourd'hui, suffoquant faute d'avoir jamais décelé le moindre horizon pour son avenir. La manière dont la cinéaste articule la question de la sexualité et du désir (...) avec celle de l'acculturation générale, d'une forme de misère sociale et morale, et du FN qui prospère sur ce terreau, est riche de promesses. Comme l'est la crudité avec laquelle ce personnage exprime sa haine, son désir, sa peur (...)." Le Monde - Isabelle Regnier "Que désirer à 13 ans, quand la vue disparaît peu à peu, quand notre corps ne nous appartient pas encore tout à fait, quand on cherche à devenir quelqu'un ? C'est la question que se pose Ava à travers le regard de la réalisatrice Léa Mysius. Ce regard se veut d'abord social, très réaliste et bascule peu à peu du conte initiatique à la fougue des sens en éveil, de la découverte amoureuse et de l'évasion." Ciné Séries Mag "Tout va vite, dans une confusion constructive de sensations et de sentiments. La peur du noir se télescope avec son attrait. C'est un festival des sens, que la mise en scène décuple, en déployant musique (de la contrebasse percutante à l'envol d'une mélopée électro hispanisante, la BO est un régal ! ), couleurs saturées, élans et effets de ruptures. Scénariste (elle a coécrit Les Fantômes d'Ismaël, d'Arnaud Desplechin) et réalisatrice de plusieurs courts métrages, Léa Mysius a créé une forme originale pour ce récit d'initiation et d'émancipation." Telerama - Jacques Morice "On pouvait craindre de ce premier long-métrage de Léa Mysius, repérée à la Semaine de la critique de Cannes, une énième variation sur le thème de l'éveil amoureux. Mais la cinéaste évite ces écueils en passant du naturalisme le plus convenu au conte fantastique inquiétant, le tout littéralement éclairé par la grâce de sa jeune révélation, Noée Abita." Paris Match "Le récit laisse vite de côté cette peur suscitée par la perte progressive de la vue (l'enjeu disparaît alors pour ne jamais être réellement traité) et s'enferre vite dans un banal canevas de fuite en avant punk et délinquante (...), faisant évoluer Ava des traditionnelles disputes avec sa mère (Laure Calamy, aussi enfantine que génialement désinhibée) à une « infiltration » dans un camp de gitans qui nous donne surtout l'impression de voir tout à coup un autre film." Abus de Ciné - Guillaume Gas "Doublé d'un sous-texte politique alarmiste, la mise en scène confine (...) Ava dans un cadre sociétal qui allonge cette balade sauvage. Un dernier segment qui perd en rythme, en force, pour cheminer vers un épilogue hésitant. Malgré tout, Ava reste un premier film d'une sombre beauté, où la joie, l'ardeur de jouir des biens les plus élémentaires de la vie raisonne dans chacun des personnages." Le Blog du Cinéma |
Synopsis usuel:
Ava, 13 ans, est en vacances au bord de l’océan quand elle apprend qu’elle va perdre la vue plus vite que prévu. Sa mère décide de faire comme si de rien n’était pour passer le plus bel été de leur vie. Ava affronte le problème à sa manière. Elle vole un grand chien noir qui appartient à un jeune homme en fuite… |
Sortie ciné : 21 juin 2017 Box office France: 80 221 entrées cinéma |
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