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Aperçu des critiques de la presse Internet (sortie dvd et blu-ray Police Fédérale, Los Angeles):
"Ce conte cruel de la corruption et de la vengeance est une œuvre majeure de William Friedkin, qui en a fait une présentation en séance spéciale de Cannes Classics." Avoir Alire "Une fois encore, Friedkin montre sa capacitié hallucinante à tirer le meilleur de ses comédiens : William Petersen, Willem Dafoe, John Pankow ou encore John Turturro alors presque tous débutants sont stupéfiants d'intensité et de véracité." Ecran Large - Laurent Pécha "Ce film de Friedkin est un pendant particulièrement tordu de son classique French Connection (1971) dont il partage de nombreux points communs tout en les détournant habilement. Les personnages de Friedkin sont dans ses meilleurs films des êtres poursuivant de manière quasi maladive un objectif, quitte à sombrer dans l'autodestruction." Dvd Classik "La patte de Friedkin consiste d'abord à brouiller les lignes entre le bien et le mal (...)." Les Inrocks "Comme dans la plupart des films de Friedkin, cette chasse à l'homme est un voyage, une immersion dans un univers parallèle et underground contaminant à jamais ses personnages." Critikat "Friedkin n'a pas son pareil pour signer des moments d'anthologie mettant aux prises des véhicules. À ce titre, revoir ou mieux découvrir la faramineuse et dantesque poursuite qui se clôt à contre sens sur une autoroute bondée, permet de se rendre compte (si besoin) à quel point l'usage de l'informatique et toutes ses trouvailles visuelles ne pourront jamais dépassés en efficacité et en plaisir brut le savoir-faire d'un génie. Ou plus simplement : avec presque vingt ans d'avance, Friedkin explose tous les Matrix Reloaded du monde ! " Ecran Large - Laurent Pécha "La vraie force du film, c'est bien sûr le style Friedkin qui filme à la fois le Los Angeles bohème chic dans le style lisse hight tech des années 1980 (loft d'artistes, bars sombres, lumières bleutées, néons colorés, sexe, le tout scandé par le rock et la pop FM de l'époque) et le Los Angeles industriel, vaste paysage d'usines, de cheminées, de hangars, de câbles électriques et de terrains vagues, un assemblage béton, métal, garrigue et poussière brûlé par le soleil." Les Inrocks "Dans Police Fédérale, Los Angeles, le mauvais goût des costumes années 1980 (...), l'envahissante musique aux synthétiseurs du groupe Wang Chung font aujourd'hui sourire. Mais, avec la brutalité sèche de ses scènes d'action, sa superbe photo (...) et, surtout, sa vision de Los Angeles comme « un immense terrain vague gangrené par la violence et le cynisme sous un soleil brûlant » (écrit Friedkin dans ses Mémoires), ce diamant noir n'a rien perdu de son éclat." Telerama - Samuel Douhaire "A l'origine de Police Fédérale, Los Angeles, il y a un livre écrit par Gerald Petievich, un ancien de ce que l'on appelle le « secret service », une unité de la police fédérale compétente à la fois pour la protection des hautes personnalités et pour la répression des contrefaçons et escroqueries monétaires. C'est, selon William Friedkin lui-même, cette particularité « bifonctionnelle » (passer de la protection rapprochée du président des Etats-Unis à la poursuite de voleurs de cartes de crédit) qui l'aurait conduit à s'intéresser au roman de Petievich, avec qui il en écrira l'adaptation pour l'écran, élaguant significativement le matériau d'origine." Le Monde |
Synopsis usuel:
Jim Hart n’est plus qu’à trois jours de la retraite. Avant de partir, ce flic intègre et respecté de tous s’est donné pour dernière mission de mettre sous les verrous Rick Masters, un faux-monnayeur sans pitié qui règne sur Los Angeles. Mais il échoue et est abattu de sang froid. Dévasté par le chagrin, son coéquipier Richard Chance jure de venger celui qu’il considérait comme son meilleur ami. Pour faire tomber Masters, il n’hésitera pas à franchir les limites de la légalité, entraînant avec lui son nouveau coéquipier John Vukovich… |
Sortie ciné : 7 mai 1986 Box office France: 276 109 entrées cinéma |
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