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Aperçu des critiques de la presse Internet (sortie dvd Libre comme le vent):
"Ce western minimaliste chasse sur les terres de la tragédie classique et constitue un brillant réquisitoire contre toute forme de violence. Un très grand film." Avoir Alire "Coup de coeur pour ce western tragique de Robert Parrish, cinéaste peu connu encore aujourd'hui, qui aborda tous les genres en contournant, à chaque fois, les clichés. Parrish, qui détestait la violence, la filme, ici, comme une tare qui a perverti l'Ouest." Telerama - Guillemette Odicino "Libre comme le vent est un superbe western qui participe au souffle novateur du genre en cette fin des années 1950 avec des œuvres comme Le Gaucher d'Arthur Penn sorti la même année. Avec Robert Parrish cette mutation se fait moins démonstrative que chez Penn, s'inscrivant au cœur d'un récit subtil et intense." Chroniques du Cinéphile Stakhanoviste "S'il y a bien une chose qui force l'enthousiasme à la découverte de ce western de 1958, c'est bien son interprétation, sa direction d'acteurs et son traitement subtil de personnages peu manichéens." Dvd Classik "Le film surprend jusqu'au bout (...) avec un anti climax inattendu et poignant. Un captivant western." Chroniques du Cinéphile Stakhanoviste "Libre comme le vent peut se présenter comme une classique série B aux airs de western crépusculaire. Très rapidement, l'envergure du film se remarque. On pose dès la scène d'introduction une ambiance sèche de film noir (...)." Carnets de découverte du Lieutenant Schaffer "Robert Parrish a beau ne pas avoir une carrière prolifique, il n'en reste pas moins un auteur saisissant qui vaut largement la peine que l'on s'intéresse à son cinéma. (...) Dans Libre comme le vent il s'attaque à la déconstruction des stéréotypes d'un genre codifié, au propos moral appuyé et contraire aux valeurs classiques hollywoodiennes. Pas étonnant que Parrish n'ait d'ailleurs pas fait de vieux os dans l'industrie américaine, exilant son cinéma en Europe." Carnets de découverte du Lieutenant Schaffer "Parrish, pour le reste, n'innove pas (...) : sa mise en scène est « standard », élégante et esthète certes, intelligente évidemment mais nullement originale. Le scénario lui-même enrobe le thème du psychopathe (poussé au bout de sa logique franchement psychanalytique par une sorte de tragédie soigneusement mise en place et bien dialoguée) dans deux actions parallèles toutes deux ultra-classiques : les rivalités entre Nordistes et Sudistes au lendemain de la guerre de Sécession, d'une part, les luttes relatives aux terrains délimités par des barbelés entre éleveurs et fermiers, d'autre part." Ecran Large - Francis Moury |
Synopsis usuel:
Le jeune Tony Sinclair rentre au ranch familial après une longue absence passée en ville. Afin de prouver qu'il est le meilleur tireur des alentours il abat un hors-la-loi qui s'en prenait à son frère avant de s'en prendre à Clay Ellison, un homme revendiquant un bout de terrain soit-disant commun... |
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