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Aperçu des critiques de la presse Internet (sortie vod, dvd et blu-ray Carbone):
"Le fait divers raconté par Olivier Marchal lui sert avant tout de prétexte pour ausculter à nouveau le monde des malfrats, avec toute sa noirceur habituelle. L'ensemble est efficace et bien joué, à défaut d'être original." Avoir Alire "L'escroquerie à la taxe carbone a fait perdre 1,6 milliards d'euros au fisc français. Olivier Marchal s'est saisi de cette affaire pour réaliser Carbone, un polar efficace." Culture Box "Les dialogues sont affutés, puissants, et ne versent pas dans le trop plein lourdaud qui a parfois menacé Marchal par le passé." Ecran Large "Benoît Magimel se montre attachant, très impliqué dans ce film à son image : un peu fatigué mais efficace." Telerama "Si Carbone est une réussite, c'est parce que son réalisateur a su redéfinir les contours de son scénario. Quand il arrive sur le projet, d'autres réalisateurs (Emmnuel Naccache, pour être précis) avaient préparé le terrain, travaillé un script. Olivier Marchal a apporté sa patte, on la sent notamment dans la tonalité très noire de l'ensemble. Noire, mais pas totalement désespérée, du moins pendant le laps de temps du récit, car Antoine Rocca, le personnage principal, est traité de manière assez romantique, en fin de compte. Le réalisateur cherche à nous positionner de son côté, parfois avec un peu de maladresse (on n'a rien contre le rap d'Orelsan, mais cette musique ne s'accorde pas idéalement aux images d'une telle œuvre), mais cela fonctionne globalement." Culturellement vôtre "Pour son 5ème long métrage, Olivier Marchal perdure dans le polar noir mais le « glamourise » : casting cinq étoiles, lumières superbes, décors élégants, Carbone séduit en tous points et c'est presque regrettable tant il met à l'honneur « l'escroquerie du siècle »." Le Blog du Cinéma "La finance dématérialisée se représente mal et Olivier Marchal rate son film de casse du 21ème siècle. (...) Sûrement trop compliquées à représenter, les opérations complexes et immatérielles de détournements d'argent sont peu à peu négligées au profit des règlements de comptes plus concrets mais néanmoins absurdes qui achèvent de plonger le film dans une fascination pour la violence, tout en essayant de se cacher derrière une morale trouble et simpliste expliquant que la fin (sauver l'entreprise et ses 35 salariés) peut parfois justifier les moyens (escroquer l'Etat)." Les Inrocks - Mathieu Champalaune "Le film donne comme une impression de déjà-vu à chaque seconde. La rage et la nervosité des situations sont annihilées par des ressorts dramatiques surannés et éculés, transformant une atmosphère poisseuse en un banal manuel d'apprentissage du polar à la française." Abus de Ciné - Christophe Brangé "Le programme est si balisé qu'une fois la mort du personnage de Magimel connue (dès la première scène) et l'arnaque expliquée, on devine à peu près tout ce qui suit." L'Obs " Marchal déroule les éternels clichés sur les antihéros solitaires et incompris, entourés de traîtres tout désignés et de maîtresses compatissantes. Bref, une copie carbone de sa filmographie." Première |
Synopsis usuel:
Menacé de perdre son entreprise, Antoine Roca, un homme ordinaire, met au point une arnaque qui deviendra le casse du siècle. Rattrapé par le grand banditisme, il lui faudra faire face aux trahisons, meurtres et règlements de compte. |
Sortie ciné : 1er novembre 2017 Box office France: 711 129 entrées cinéma |
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