|
|
|
vod
dvd blu-ray
|
|
Aperçu des critiques de la presse Internet (sortie dvd et blu-ray The Terrorizers):
"The Terrorizers est un drame social qui nous plonge dans un Taipei sombre et pessimiste." Manga News "The Terrorizers mêle histoires de couple et de meurtre." Libération - Eric Loret "Sur les pas d'Antonioni, Edward Yang réalisait en 1986 une oeuvre matricielle d'une grande beauté formelle, doublée d'un constat désespéré sur la condition humaine." Avoir Alire "Ce qui est formidable, chez Yang, c'est que le portrait de l'aliénation contemporaine ne passe jamais par un surplomb des personnages qui permettrait de les désigner du doigt, de jouir d'une position supérieure par rapport à eux. Ici, il n'y a pas le choix : il faut s'engouffrer dans leur parcours sentimental, en partager les bifurcations et les souffrances, participer à leur itinéraire de glaciation, pour éprouver quelque part leur perte d'humanité." Critikat "Vous ne trouverez pas dans ce film des relations chaleureuses. Tout y est carré, quadrillé, froid...d'ailleurs c'est bien simple, vous ne trouverez pas de personnages qui sourient dans ce film." Manga News "Il faut être conscient que le film ne s'adresse pas à tous les publics : il est lent, souvent contemplatif, il est loin d'être gai, certains pourraient le qualifier d'atrocement mou, beaucoup pourrait le trouver terriblement ennuyeux…il faut savoir dans quoi on s'embarque avant de commencer le visionnage de ce film ! " Manga News "C'étaient les débuts de la nouvelle vague asiatique. Edward Yang (1947-2007) était le héros de Taiwan avec Hou Hsiao-hsien. Plus question de narguer les conventions et de leur mettre la tête à l'envers comme avec la modernité européenne, mais un rapport étranger à l'espace, aux récits, aux corps. Une autre langue, douce et entêtante." Libération - Eric Loret "Edward Yang a été, avec Hou Hsiao-hsien, l'un des chefs de file de ce que l'on a appelé la "nouvelle vague" du cinéma taïwanais. Le foyer d'un bouleversement doux, mais radical, d'une certaine forme de modernité cinématographique, un nouveau rapport au plan et au temps filmique, une manière de faire muter ces notions, tout en continuant le projet d'un art qui tente à la fois de montrer le monde et de raconter des histoires. Imprégné de culture moderne, de mangas, de musique pop, de films hollywoodiens, Edward Yang a construit une oeuvre qui est autant un regard sur l'histoire de son pays qu'une réflexion sur la société moderne." Le Monde - Jean-François Rauger "Yang est un artiste dont la formation d'ingénieur informaticien explique le goût pour les récits non linéaires et les réseaux fictionnels. Il a un talent très personnel pour tisser les intrigues entre elles." Les Inrocks - Olivier Père "Edward Yang (1947-2007) est un héritier de la modernité cinématographique européenne (essentiellement les films d'Antonioni) et un observateur subtil et critique des métamorphoses historiques et économiques de la société taiwanaise. Contrairement à une certaine tendance du cinéma asiatique, contemplatif et mutique, les films de Yang sollicitent le spectateur, avec un flux d'informations qui passent autant par les dialogues que la mise en scène (Yang est davantage un cinéaste du cadre que du plan)." Les Inrocks - Olivier Père |
Synopsis usuel:
Taipei. Une jeune fille rebelle trompe sa solitude en appelant des gens au téléphone. Un médecin piège un de ses collègues pour avoir une promotion. Un photographe qui a perdu sa muse, vit quasiment dans sa chambre noire. Une épouse en crise se rappelle un amour de jeunesse avec nostalgie. Une écrivaine en crise peine à trouver l’inspiration. |
Sortie ciné : 14 décembre 2011 |
|
|