|
|
|
vod
dvd
|
|
Aperçu des critiques de la presse Internet (sortie vod, dvd Les Bienheureux):
"Avec son premier film, Les Bienheureux, la réalisatrice algérienne Sofia Djama frappe fort, radiographiant avec lucidité son pays, toutes générations confondues." Jeune Afrique "A partir d'un dîner en apparence anodin qui se transforme peu à peu en nuit cauchemardesque et en explication entre les deux membres d'un couple, c'est le visage d'une Algérie meurtrie et sous le joug des islamistes qui est mis à jour. Sami Bouajila et Nadia Kaci sont tout juste formidables en couple au bord de l'implosion (...)." Abus de Ciné - Olivier Bachelard "La réalisatrice Sofia Djama explore les conséquences de la guerre civile qui a endeuillé l'Algérie de 1991 à 2002. (...) Les Bienheureux dresse un portrait puissant et émouvant de l'Algérie meurtrie par une guerre civile qui a eu de graves conséquences, y compris sur l'identité algérienne d'aujourdhui." Le Blog du Cinéma "Les Bienheureux, invitation à la vie, constitue une belle et nuancée réponse aux maux d'Alger et de l'Algérie, d'hier et d'aujourd'hui." Ciné Séries Mag "Entre espoir et désillusion, Les Bienheureux est une déambulation réaliste dans l'Alger de l'après-guerre civile qui, à travers ses habitants, se cherche un avenir." Avoir Alire "De la fin de journée jusqu'au bout d'une nuit émaillée d'euphorie et de déconvenues, on suit en alternance plusieurs personnages. (...) Les Bienheureux tient, donc, de la chronique sobrement élégante. Où la tension, légère au début, s'amplifie. Où la sensation d'un piège, d'une chape de plomb pèse de plus en plus. La ville est sensuelle, mais chaotique et oppressante, et certains cherchent à se soustraire à son étreinte." Telerama - Sofia Djama "Nadia Kaci et Sami Bouajila interprètent avec beaucoup de sensibilité ce couple d'intellectuels qui parlent français et rejettent la « bigoterie distillée par l'État » (...). Mais le film prend tout son sens lorsqu'il s'intéresse à la jeune génération." La Croix "La réalisatrice monte alternativement la soirée des parents, qui devait être une fête et tourne à l'affrontement dramatique, et celle de Fahim, Feriel et leurs copains djeunes. Croquis d'une jeunesse partagée entre alcool et drogue d'un côté, dévotion religieuse peu éclairée de l'autre. Il y a des scènes savoureuses (...). En arrière-plan, une société qui n'évolue pas, traîne dans les interdits anciens. Un peu trop démonstratif mais révélateur d'un climat social aux tensions sourdes, intéressant à capter." Le Figaro "Le rythme de la narration est un peu rapide. Ce qui ne facilite pas la (re)contextualisation des évènements racontés en amont : le soulèvement populaire en octobre 88, la décennie noir." Huff Post Magreb "Même s'il a le mérite d'éviter les lieux communs et les schématismes, le film est un peu trop engoncé dans son vouloir-dire, chaque situation apparaissant avant tout comme l'argument d'une démonstration." Libération |
Synopsis usuel:
Alger, quelques années après la guerre civile. Amal et Samir ont décidé de fêter leur vingtième anniversaire de mariage au restaurant. Pendant leur trajet, tous deux évoquent leur Algérie : Amal, à travers la perte des illusions, Samir par la nécessité de s’en accommoder. Au même moment, Fahim, leur fils, et ses amis, Feriel et Reda, errent dans une Alger qui se referme peu à peu sur elle-même. |
Sortie ciné : 13 décembre 2017 Box office France: 30 165 entrées cinéma |
|
|