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Aperçu des critiques de la presse Internet (sortie dvd L'Enfant de Goa):
"Avec un réalisme cru (le film montre sans filtres que l'exploitation des pauvres est aussi sexuel), Naik propose une vision terrible de la société indienne, enferrée dans des problématiques d'un autre âge, corrompue jusqu'à la moelle, structurellement incapable de protéger les plus démunis." Première "Ce premier long métrage fait alterner sur un mode romanesque séquences sensuelles et violentes dans un environnement social bien observé." Les Inrocks "Inspiré de faits réels, ce premier long-métrage dévoile sous forme de chronique réaliste maîtrisée une ambiance de peur et de domination outrageante où, derrière les bambous, des situations infâmes se dénouent." JDD "Le réalisateur présente les mauvais traitements que les locaux réservent aux immigrés comme une survivance terrifiante du système de castes." Telerama "L'Enfant de Goa est un premier long-métrage qui prend au cœur et qui ne laisse pas indifférent. On ne cessera jamais de remercier le distributeur français Sophie Dulac pour ses choix radicaux, nécessaires aujourd'hui, et qui continue à proposer à un public français de rester ouvert sur le monde qui l'entoure." Ecran Large "Acteurs non professionnels, décors naturels, volonté de dénoncer l'arbitraire des slumlords indiens, L'Enfant de Goa est à la fois un film de combat et une tentative artistique : le mix, pas toujours abouti, est touchant." L'Obs "Ce drame social vaut davantage pour les thèmes qu'il aborde (la précarité de populations quasiment réduites en esclavage) que pour son intrigue, souvent malhabile, et l'interprétation de ses acteurs, qui nous laisse à distance." Fiches du Cinéma |
Synopsis usuel:
A travers le regard de Santosh, 16 ans, les chroniques du village de Boribmol, Goa, Inde. Ou comment à deux pas de la plage et des vacances, non loin des touristes, se joue une toute autre réalité. Le garçon vit avec sa grand-mère dans ce village dont la population, pour la plupart composée d’immigrés subit la tyrannie de Juze dit « Slum Landlord », marchand de sommeil, seigneur de pacotille sans foi ni loi. Malgré les coups et les menaces, Santosh ne cède en rien, sa détermination d’aller à l’école semble indestructible. Au fur et à mesure des abus de toutes sortes et des violences qui vont crescendo, sa résistance au départ passive va évoluer jusqu’à un point de non-retour. |
Sortie ciné : 17 janvier 2018 |
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