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Aperçu des critiques de la presse Internet (sortie vod, dvd et blu-ray Le 15h17 pour Paris):
"Grand film politique, servi par une mise en scène efficace, Le 15h17 pour Paris est la fascinante histoire de patriotisme et d'héroïsme de trois amis que rien ne sépare. (...) L'idée de génie de Clint Eastwood est d'avoir confié les rôles de cette histoire aux principaux protagonistes eux-mêmes. Tous sont extrêmement convaincants pour des acteurs débutants." Causeur "Clint Eastwood dresse le portrait touchant de trois héros ordinaires, loin des canons prévisibles du film de genre. (...) Clint Eastwood signe l'anti-film de superhéros parfait." LCI "L'action stricto sensu, dans le train, tient en à peine dix minutes. (...) Clint Eastwood filme surtout l'avant : des flash-back sur la longue amitié, remontant à l'enfance, des trois héros, interprétés à l'âge adulte par les vrais protagonistes." Telerama "Après la première demi-heure, long flash-back remontant à la pré-adolescence des trois héros, on constate pourtant qu'Eastwood se fait le ménestrel sacrément perfide d'un patriotisme d'un genre si zinzin qu'il apparaît compliqué d'épingler le cinéaste pour complaisance gaga. Sa caméra dépeint littéralement un pays de dingues, où il suffit d'un échange surréaliste entre une professeure et deux mères d'élèves pour fendiller l'apparente normalité d'une démocratie apaisée et sans nuage." L'Obs "Clint Eastwood rend hommage à un trio d'Américains héroïques. Il leur a demandé de jouer leurs propres rôles. (...) La tentative d'attentat en elle-même ne dure qu'une dizaine de minutes, mais montre à quel point le réalisateur est un virtuose quand il s'agit de passer à l'action. Cette séquence époustouflante est une pure merveille de mise en scène, permettant de partager l'attaque en temps réel." 20 minutes "Le meilleur du film, c'est le dernier quart d'heure, celui de l'attaque, de sa neutralisation, puis de l'invitation des "héros du Thalys" à l'Elysée où ils sont décorés de la légion d'honneur par François Hollande : là, le trouble du dédoublement réel-fiction devient vraiment sensible (...)." Les Inrocks "Sur les affiches, une maxime qui résume à elle seule les 1h35 du film : "Face à la peur, des gens ordinaires peuvent faire des choses extraordinaires". Car il s'agit bien de cela… de la vie de trois gamins américains, élevés par des mères célibataires, entourés d'amour, mais hyperactifs et peu disciplinés. Trois gosses qui, privés de la figure paternelle, adorent se déguiser en treillis et jouer à la guerre, jusqu'à embrasser des carrières militaires. C'est leur amitié, indestructible, et leur altruisme que s'attache à montrer le réalisateur dans un film qui se contente de retracer le destin de ces trois potes, joyeux et fêtards, qui depuis l'école maternelle ne se sont jamais quittés ." Culture Box - Sabine Gorny "Ça ressemble à une pub pour de la Budweiser mais c'est bien plus profond que ça : Clint Eastwood a mis au point une véritable apologie de la crétinerie." Avoir Alire "Le résultat est consternant de bêtise. La première d'entre elle est de confier aux vrais héros leur propre rôle à l'écran, garantie naïve et forcément fallacieuse de coller au plus près du réel (précisons que l'enquête sur les évènements décrits est encore en cours). (...) Sans perspective, l'histoire de ce 15h17 pour Paris devient une célébration gratuite et béate de « simples » héros américains." Première - Thomas Baurez "Plus insignifiant encore, Eatswood émaille son récit d'une forme de christianisme trépané, particulièrement malvenu et étonnant de sa part. Et son héros de voyager en Europe à coups de signes du destin, de simili-visions et autres messages divins. Oubliant totalement que la foi est affaire de doute, le metteur en scène se vautre dans un réseau d'images indignes d'un mauvais télévangélistes, qui achèvent de transformer ce sketch patriote en échec à peu près total." Ecran Large - Simon Riaux "Avec ce film, Eastwood n'échappe pas à un manichéisme patriotique pro-militaire navrant mais propose une oeuvre troublante qui interroge sur la limite entre fiction et réalité." Ciné Séries Mag "Eastwood ne paraît pas spécialement concerné hormis dans la séquence de l'attaque du train. Le réalisateur refait alors surface et déploie un formalisme sec, minimaliste mais impressionnant dans un espace confiné. En équilibriste, Eastwood jongle sur le fil de la reconstitution qui atteint son point de rupture avec la séquence de la remise des médailles. Entre images d'archives et originales, le film flirte avec son propre concept et provoque alors un trouble étonnant qui frôle le malaise. Le film devient alors une expérience étrange, de guingois, une tentative avortée qui ne mérite pourtant pas les crachats reçus (...)." Le Blog du Cinéma "L'avocate de l'assaillant du Thalys veut demander la suspension du film (...). « J'avais demandé au magistrat instructeur d'organiser une reconstitution. On vient de me répondre que c'était inutile, puisqu'il y avait déjà le film. La justice se plie devant un réalisateur de fiction » a dénoncé Sarah Mauger Poliak. L'avocate a donc fait appel de la décision des juges concernant la reconstitution. Elle envisage d'attaquer la Warner Bros Compagny, pour faire suspendre le film le temps que le procès aboutisse." Huffington Post - Jade Toussay |
Synopsis usuel:
Dans la soirée du 21 août 2015, le monde, sidéré, apprend qu’un attentat a été déjoué à bord du Thalys 9364 à destination de Paris. Une attaque évitée de justesse grâce à trois Américains qui voyageaient en Europe. Le film s’attache à leur parcours et revient sur la série d’événements improbables qui les ont amenés à se retrouver à bord de ce train. Tout au long de cette terrible épreuve, leur amitié est restée inébranlable. Une amitié d’une force inouïe qui leur a permis de sauver la vie des 500 passagers… |
Sortie ciné : 7 février 2018 Box office France: 402 662 entrées cinéma |
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