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Aperçu des critiques de la presse Internet (sortie L'Enclave):
"Plus de vingt ans après les conflits, Goran Radovanovic, réalisateur serbe, revient sur ce pan de l'histoire. « C'est toujours un problème aujourd'hui parce qu'il n'y a pas de liberté. C'est la honte de l'Europe. Comment a-t-elle pu laisser créer ces conditions »." Relikto "Dans L'Enclave, Goran Radovanovic donne la parole aux enfants. C'est ce qui fait la singularité de ce long-métrage primé au festival international de Moscou." Relikto "Situé à hauteur d'enfant, le film est une chronique d'un réalisme saisissant sans bons ni méchants, suite de petits événements qui forment un récit dense et prenant, superbement maîtrisé." Sens Critique - 6nezfil "L'Enclave est un film de guerre, ou plutôt de ses miettes. Il montre la faiblesse de l'homme (...) dans l'amour tragique qu'il voue - qu'il soit vainqueur ou vaincu - à des valeurs religieuses tronquées d'humanité. Prendre soin de ses enfants sauvera toujours plus que choisir son camp dans une guerre qui sème le chaos pour asservir chaque jour un peu plus les peuples. On oublie trop souvent aujourd'hui que les seul bénéfice commun à toute religion réside dans l'éducation, pas dans la vénération." Sens Critique - Javier "L'Enclave, un film au scénario solide, est marqué par un silence très bavard. « Je pense que le silence a davantage de pouvoir. Je suis cinéaste. J'attache beaucoup plus d'importance à l'image qu'au dialogue. Vous, en France, vous aimez bien les dialogues. Un film, c'est avant tout des images ». Goran Radovanovic filme généreusement des grands plans de la Serbie." Relikto "L'Enclave arrive comme une bonne surprise car en ces temps où tous les regards se tournent vers la Syrie, je m'interrogeais sur le cas du Kosovo, dont on ne parle plus beaucoup. Situation complexe au niveau culturel que le conflit a considérablement chamboulé, on était en droit d'attendre un portrait cru de la situation façon The search, en espérant cette fois ci être immergé au coeur de la population civile. Le personnage principal étant ici aussi un enfant, il y avait donc de quoi frapper fort. Le film décide toutefois d'éviter de prendre part dans le conflit. Il préfère en filmer les conséquences, quitte à se perdre dans une histoire individuelle." Sens Critique - Voracinéphile |
Synopsis usuel:
Cinq ans après la fin de la guerre, le Kosovo est encore sous souveraineté administrative des Nations unies. Dans une enclave serbe, Nenad, 10 ans, vit dans une ferme avec son père alcoolique et son grand-père malade. Au village, il n'y a plus que des adultes, notamment le prêtre Draza et l'institutrice qui, du coup, n'enseigne plus que pour lui. Depuis le blindé qui l'emmène à l'école, Nenad contemple avec envie des garçons albanais en train de jouer, menés par Bashkim, un jeune berger de 13 ans. Bashkim le regarde d'un mauvais oeil : il voue en effet une haine tenace aux Serbes, qui ont tué son père… |
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