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Aperçu des critiques de la presse Internet (sortie vod, dvd et blu-ray A Beautiful Day):
"Voyage introspectif dans l'inconscient d'un traumatisé de guerre, le film de Lynne Ramsay est un thriller référentiel à la fois séduisant et déroutant, à la virtuosité indéniable. Joachin Phoenix est époustouflant." Avoir Alire "Un grand coup de marteau. Pour son quatrième long métrage, la réalisatrice anglaise entre dans la cour des grands noms du cinéma contemporain avec une variation de Taxi Driver à la mise en scène organique qui ne lâche jamais le spectateur." Paris Match "Sur le plan formel, Lynne Ramsay fait dans l'effet immersif, hypnotique. L'épure. Au-delà de la réalité, elle met en scène un vigilante ravagé et nous bombarde d'images mentales car tout passe par le prisme de son cerveau perturbé. Elle en profite pour réinventer les codes polar, rien de moins." DailyMars - Marc Godin "Le suspense n'est pas le moteur du film, les dialogues sont réduits au minimum, l'action s'arrête brutalement pour des plages plus contemplatives, des moments inutiles, la violence est hors-champ le plus souvent." DailyMars - Marc Godin "Le scénario - de série Z, véritable Charles Bronson movie - a été primé à Cannes. Mais ce scénario basique et minéral, est sublimé par l'interprétation de Joaquin Phoenix. C'est notre Brando. Un génie comme il en existe peu. Un acteur-fantôme qui disparait derrière ses personnages, hante les meilleurs films américains depuis une vingtaine d'années et prouve que la théorie de l'acteur est au moins aussi pertinente que celle de l'auteur." DailyMars - Marc Godin "Joaquin Phoenix est fascinant." Les Inrocks "Joaquin Phoenix dévore la pellicule dans A Beautiful Day, un polar hanté à l'amplitude esthétique et émotionnelle hallucinante." Le Blog du Cinéma "Il est curieux que le jury du dernier Festival de Cannes ait choisi de récompenser Lynne Ramsay pour le scénario très mince de A Beautiful Day, une variation très sommaire du Taxi Driver de Martin Scorsese. Car c'est sa mise en scène qui impressionne. Par sa sophistication visuelle et sonore de chaque instant. Par ses longs plans contemplatifs qui alternent avec de soudains éclairs de violence sèche. Par son montage aux ellipses audacieuses. Enfin, par son utilisation de la musique envoûtante de Jonny Greenwood : des notes à la limite de la dissonance qui, petit à petit, prennent des accents lyriques. Pas de contestation, en revanche, pour le prix d'interprétation attribué à Joaquin Phoenix." Telerama - Samuel Douhaire "Lynne Ramsay dope son polar hardboiled grâce à une mise en scène et à un montage d'une exceptionnelles profondeurs, transformant Joaquin Phoenix en ange de la mort déchirant." Ecran Large "L'originalité du film tient avant tout à l'autopsie psychologique de son protagoniste. Par un montage magistral, en particulier sur le travail sonore, les fantômes du passé ressurgissent en permanence, des flashs kaléidoscopiques, témoins des traumatismes de l'enfance ou des blessures de guerres jamais guéries, enrobent la pellicule avec lyrisme et poésie. (...) Néanmoins, si les qualités plastiques sont indéniables, l'exercice de style se retrouve moins troublant que prévu, la faute à une radicalité formelle omniprésente où le fond se retrouve limité à une vulgaire intrigue de polar type série B (les hommes politiques sont forcément méchants et corrompus). Dans sa proposition visuelle, Lynne Ramsay finit par se répéter, accentuant la violence pour combler le vide abyssal de son scénario perdu dans de grotesques ramifications." Abus de Ciné - Christophe Brangé "Le scénario ne fait pas le poids, contrairement à ce qu'a estimé le jury cannois. D'abord mystérieux, les plans savamment cadrés deviennent artificiels quand on comprend dans quelle histoire banale Lynne Ramsay nous entraîne. Le syndrome de stress post-traumatique n'est plus qu'un ressort fatigué dans ce film d'auteur qui veut, autre rengaine, styliser la violence. Autant dire que Joaquin Phoenix n'a rien de consistant à se mettre sous la dent. Faute de vrai défi, il devient une présence écrasante et finalement prétentieuse. Caricaturale. Tel Marlon Brando quand il jouait dans des films trop petits pour lui. Le prix d'interprétation qui a récompensé son numéro boursouflé est à côté de la plaque." Telerama - Frédéric Strauss |
Synopsis usuel:
La fille d’un sénateur disparaît. Joe, un vétéran brutal et torturé, se lance à sa recherche. Confronté à un déferlement de vengeance et de corruption, il est entraîné malgré lui dans une spirale de violence… |
Sortie ciné : 8 novembre 2017 Box office France: 164 949 entrées cinéma Festival de Cannes 2017 : 2 récompenses. Prix d'interprétation masculine (Joaquin Phoenix), Prix du scénario. |
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