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Aperçu des critiques de la presse Internet (sortie vod, dvd Kings):
"Kings est un coup de tonnerre avant-gardiste contre le racisme, la discrimination et la circulation des armes aux Etats-Unis, un peu décevant." Avoir Alire "Kings est un film puissant et disparate." Les Inrocks "Kings regorge de fulgurances, de séquences où tout le talent de la réalisatrice s'exprime, confirmant sa capacité à capturer les émois adolescents avec une élégance rare." Abus de Ciné - Christophe Brangé "Deniz Gamze Ergüven entrelace les révoltes raciales des années 1990 à Los Angeles et une vie familiale survoltée pour un ensemble d'une grande justesse. Tout est beau, brut, intense, d'une tendresse pure et d'une agressivité frappante. Mais si l'œuvre est réussie, elle laisse un goût d'inachevé." Le Blog du Cinéma "(...) nous sommes en 1992, à la veille des émeutes sanglantes qui ont ravagé le ghetto de South Central, à Los Angeles, majoritairement habité par des Afro-Américains. (...) Le film montre que ce genre d'insurrection produit une multitude d'émotions, parfois opposées. Il y a les chanceux et les damnés, ceux qui gagnent un téléviseur à la faveur d'un pillage, ceux qui perdent un enfant. Deniz Gamze Ergüven mélange le drame et la comédie, les petites absurdités et les grandes injustices. La greffe entre les divers registres ne prend pas toujours." Telerama - Jacques Morice "Kings souffre d'une construction bancale et d'une partie plus faible autour des deux stars hollywoodiennes, mais brille du côté des adolescents, superbement interprétés et filmés." Ecran Large "L'œuvre est ambitieuse : raconter les émeutes de Los Angeles dans un tourbillon virevoltant d'émotions, où les registres se multiplient comme des regards différents sur une tragédie historique. Disons-le immédiatement, oser des séquences ubuesques sur un sujet aussi sérieux a tendance à desservir le propos tant l'équilibre entre les différentes tonalités s'avère bancal." Abus de Ciné - Christophe Brangé "(...) une lacune narrative est patente. (...) L'on ne croit pas une seconde à cette femme ayant à résidence une dizaine de gosses de tous âges. Pas plus qu'à son rapprochement en période de crise avec son voisin récalcitrant. Le récit joue d'ellipses à répétition, alors que des scènes anodines sont étirées à loisir. Quant à la longue séquence du lampadaire urbain, qui se veut burlesque, c'est un ratage complet. Des déséquilibres qui font rejaillir la faiblesse d'interprétation des acteurs, pourtant plus qu'estimables, Halle Berry et Daniel Craig, tous deux inexistants." Culture Box "Kings semble n'être qu'une gigantesque cacophonie inaudible (...). En cause, la volonté de la réalisatrice de mettre l'accent d'abord sur le contexte plutôt que sur les personnes qui vont le vivre. Ainsi, le montage - passablement raté - s'évertuant à montrer la tension en train de monter, on assiste pantois à la plongée dans le chaos d'une famille dont on se fiche éperdument. Ce choix artistique, discutable, occulte totalement l'empathie qu'on pourrait développer vis à vis de cette famille qui semble de la même sorte plus être unie comme symbole (tous sont noirs et le personnage de Daniel Craig - un blanc - est là pour montrer qu'il existe des gens biens) que par vraie nécessité. Cela a pour conséquence de déployer sur le film un sentiment d'inachevé, de grossier, lequel est d'autant plus frustrant qu'il est sans cesse contrebalancé par des petites fulgurances." Ciné Séries Mag |
Synopsis usuel:
1992, dans un quartier populaire de Los Angeles. Millie s’occupe de sa famille et d’enfants qu’elle accueille en attendant leur adoption. Avec amour, elle s’efforce de leur apporter des valeurs et un minimum de confort dans un quotidien parfois difficile. À la télévision, le procès Rodney King bat son plein. Lorsque les émeutes éclatent, Millie va tout faire pour protéger les siens et le fragile équilibre de sa famille. |
Sortie ciné : 11 avril 2018 Box office France: 75 815 entrées cinéma |
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