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Aperçu des critiques de la presse Internet (sortie vod, dvd Yakuza):
"L'équilibre s'avère parfait entre la tradition du film de yakuza japonais et l'efficacité américaine (...). La fusion est idéale entre imagerie pop, respect du genre et occidentalisation. Le sommet de ce principe est atteint lors d'un final anthologique ou Mitchum armé d'un fusil et Takakura Ken de son sabre déciment à eux deux le clan Tono, grand moments d'action où le western et le polar croise le chambarra le plus survolté." Chroniques du Cinéphile Stakhanoviste "C'est rare de voir un film occidental sur les yakuzas aussi pointu, précis, aussi respectueux des codes de ce genre de film nommé le Yakuza eiga. (...) le film rappelle les étranges conceptions des yakusas, essentiellement influencées par leur code d'honneur ancestral inspiré du Bushido des samouraïs." Asiaphilie "Il faut reconnaître à Sydney Pollack une certaine audace pour aller se frotter au film de yakuzas. Même si la greffe n'est pas entièrement satisfaisante, le pari d'importer l'austérité des gangsters nippons dans un polar américain était loin d'être évident. Le scénario fait des allers-retours entre les deux cultures, sacrifie parfois au folklore oriental, mais possède dans l'ensemble une solide charpente entretenue par une série de révélations et de morts violentes." Telerama - Jérémie Couston "Le réalisateur s'est trouvé très dépaysé pour tourner ce film, que ce soit sur le plan des acteurs, de l'équipe et même du lieu puisque la très grand grande majorité du film a été tourné au Japon. Malgré cela, Yakuza est un film personnel, ce n'est pas un film de genre" L'Oeil sur l'Ecran - Lui "Il y a beaucoup de choses dans Yakuza, on pourrait même dire que c'est autant un film romantique qu'un film d'action, mais ce sont les différences de civilisation qui ont visiblement le plus intéressé Pollack, notamment le formalisme de certaines règles. Il tente ainsi de faire comprendre la mentalité japonaise et la rigueur consentie de son système de valeurs à un public occidental. Cela n'a visiblement pas marché car le film n'a pas trouvé son public. A cette époque, beaucoup de critiques avaient, par méconnaissance, de forts à-priori contre l'univers du cinéma japonais. Il est plus estimé aujourd'hui, assez justement car c'est un film joliment complexe." L'Oeil sur l'Ecran - Lui "Le scénario du film s'inspire directement de tout un pan de la cinématographie japonaise : le film de yakuzas. Curieusement, le poste de réalisateur incombe à Sidney Pollack, un metteur en scène compétent mais au style peu énergique qui se marie mal avec les intentions des deux frères scénaristes, faire de Yakuza un film sombre et violent. C'est sans doute pour que le film colle mieux au style de Sidney Pollack que Robert Towne a été engagé pour reprendre et adoucir le scénario des frères Schrader." Tortillapolis |
Synopsis usuel:
Un trafiquant d’armes demande à l’un de ses vieux amis de se rendre au Japon pour libérer sa fille de l’organisation qui l’a enlevée… |
Sortie ciné : 20 aout 1975 Box office France: 180 413 entrées cinéma |
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