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Aperçu des critiques de la presse Internet (sortie vod, dvd et blu-ray Fleuve noir):
"Dans la grande famille des polars, il y a les réalistes et… les autres. Ceux dont les archétypes et les sentiments, exacerbés et plus noirs que nature, servent d'alibis pour des comédiens ravis de cabotiner comme les grands anciens : Louis Jouvet dans Quai des Orfèvres, d'Henri-Georges Clouzot, ou Anthony Perkins dans Psychose. Fleuve noir est de cette eau-là, toxique, marécageuse." Telerama - Guillemette Odicino "Sandrine Kiberlain, elle l'a dit, ne fut pas heureuse sur le tournage : à l'écran, cela donne des absences fascinantes à son personnage. Face à Romain Duris, tout en fantasmes inassouvis, Vincent Cassel compose un Columbo suintant le mal-être, le manque d'amour. De grands acteurs pour un film sur le besoin maladif d'aimer." Telerama - Guillemette Odicino "Romain Duris, Vincent Cassel et Sandrine Kiberlain s'affrontent dans une intrigue sombre et haletante." CultureBox "Kiberlain et Duris sont délectables." La Libre "Le côté félin de Vincent Cassel fait des merveilles pour donner vie à ce flic un brin alcoolique et totalement obsédé par son boulot. Face aux deux merveilleuses Sandrine Kiberlain et Elodie Bouchez, il dégage un fond de sensualité discret mais bien présent." 20 minutes "Fleuve noir est agréable en raison de son parti pris (une enquête policière dans la grande tradition des investigations françaises carburant au café noir et aux enjeux glauques), mais aussi perturbante au vu de sa propension à remettre sur le devant de la scène les lourdeurs d'un autre cinéaste dont on avait fini par se désintéresser totalement, à savoir l'ex-flic Olivier Marchal. Là encore, toutes les caractéristiques du polar marchalien percent chaque photogramme jusqu'à la déchirure : noirceur exacerbée, cadres glauques, personnages au bout du rouleau, névroses au kilo, dialogues primaires, manichéisme primaire, espoir anéanti, sans oublier l'idée même de nuance dont la seule fonction consiste à ne (presque) jamais rentrer dans l'équation." Abus de Ciné - Guillaume Gas "Erick Zonca adapte un polar israélien en empruntant son titre à la célèbre maison d'édition de San Antonio et de Harlan Coben. Emmenée par un casting de stars, cette tentative de film noir en reprend tous les clichés et donne le sentiment d'un immense gâchis." Avoir Alire |
Synopsis usuel:
Dany, fils aîné de la famille Arnault, disparaît. François Visconti, commandant de police usé par son métier, est mis sur l’affaire. L’homme part à la recherche de l’adolescent alors qu’il rechigne à s’occuper de son propre fils, Denis, seize ans, qui semble mêlé à un trafic de drogue. Yan Bellaile, professeur particulier de Dany, apprend la disparition de son ancien élève et propose ses services au commandant. Il s’intéresse de très près à l’enquête. De trop près peut-être… |
Sortie ciné : 18 juillet 2018 Box office France: 294 124 entrées cinéma |
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