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Aperçu des critiques de la presse Internet (sortie vod, dvd et blu-ray A Ghost Story):
"Entre rêverie et conte philosophique, A Ghost Story est un film atypique sur la solitude et la mémoire, porté par la présence intense de Rooney Mara et Casey Affleck." Telerama "Le réalisateur américain David Lowery multiplie les signes de démarcation du tout-venant hollywoodien : refus du spectaculaire, dialogues réduits au minimum, plans fixes sculptant des durées extensives, expérimentations narratives, abandon de la psychologie au bénéfice de la métaphysique… Avec l'ambition louable de dépoussiérer un sous-genre moribond du récit fantastique, le film de fantôme, englué depuis trop longtemps dans une épaisse guimauve romantique." Le Monde "En sa qualité d'artiste non conformiste n'ayant pas besoin d'un budget de plus de 100 000 $, David Lowery s'amuse à bousculer la vie, la mort, le temps, l'espace, l'amour mais aussi toutes les règles d'écriture scénaristiques... et il le fait bien ! " Avoir Alire "Rempli d'ellipses, A Ghost Story ose tout, jouant avec la notion même du temps pour mieux transcender son propos. Car le film réussit ce que peu ont atteint : avoir une forme en communion totale avec son sujet. Il en ressort une œuvre profondément mélancolique, en ce sens qu'elle ne cherche pas à développer une réflexion mais bien à en reproduire l'émotion." Abus de Ciné - Christophe Brangé "Rêverie spectrale et puissamment incarnée, A Ghost Story bat dans chacun de ses plans d'une myriade de trouvailles et d'idées à la poésie viscérale et lumineuse." Ecran Large "A Ghost Story est une fable enivrante d'une intensité rare." Abus de Ciné - Christophe Brangé "La première demie-heure est un cliché de cinéma intello-branchouille : un couple de hipsters mélancoliques exténué par la crise existentielle de son déménagement, un fantôme à l'aspect cartoonesque (hashtag ironie), des plans étirés pour combler le vide de sens, un cadre au format 16mm “vintage” et une photo aux faux airs de filtre Instagram. (...) Pourtant, sans cette première partie, agaçante à bien des égards, l'heure qui suit ne serait surement pas la même (...). Passé le premier acte, le film est une épopée étonnante et vaut bien un effort (...). (...) le film révèle un tout autre rythme, une toute autre histoire et ce serait cette fois vous gâcher la surprise que d'en révéler le détail. A Ghost Story se transforme en une épopée étonnante et vertigineuse (...)." Paris Match - Clément Mathieu "Ce périple distille suffisamment d'arguments pour donner le grand vertige. En dire trop serait un véritable gâchis (...)." Le Blog du Cinéma "La manipulation du drapé-décédé est proprement fascinante. La figure fantomale - usitée - caresse l'herbe, les murs, les mains, se sert de ses attributs attendus pour réinvestir tout une poésie ensorcelante (...). Mais David Lowery dilue sa poésie dans de trop lourdes ambitions." Libération "En optant pour une mise en scène éthérée, le réalisateur a voulu susciter une réflexion métaphysique. Le problème, c'est qu'on s'ennuie énormément (on n'ose dire mortellement) et que les allers-retours dans le temps sont plus qu'énigmatiques." Le Parisien "A Ghost Story est sclérosé dans son sérieux papal. A trois reprises, Lowery sort de sa botte un long plan fixe en les rêvant chacun « future grande scène culte », de façon bien trop explicite et sans se soucier de leur pure artificialité. Si la première (le réveil du mort sous son drap d'hôpital) et la troisième (un long monologue qui déblatère sur l'extinction nécessaire des êtres) agacent simplement par leur immodestie, la seconde exaspère : on y voit Rooney Mara assise sur le sol de la maison pendant près d'un quart d'heure, dévorer avec les mains une tarte aux pommes pour tenter de noyer sa peine, jusqu'à l'overdose et le vomi. La durée complaisante ici va de pair avec une absence d'incarnation fatale qui abandonnent l'actrice à une performance conceptuelle idiote, incapable de faire ressentir la moindre douleur qui dévore le personnage." Critikat - Thomas Choury |
Synopsis usuel:
Apparaissant sous un drap blanc, le fantôme d’un homme rend visite à sa femme en deuil dans la maison de banlieue qu’ils partageaient encore récemment. Il découvre que dans ce nouvel état spectral le temps n’a plus d’emprise sur lui et il est condamné à être simple spectateur de la vie qui fut la sienne, avec la femme qu’il aime. Le fantôme se laisse entraîner dans un voyage à travers le temps et la mémoire, en proie aux questionnements de l’existence et à son immensité. |
Sortie ciné : 20 décembre 2017 Box office France: 52 860 entrées cinéma |
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