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Aperçu des critiques de la presse Internet (sortie dvd Sayonara):
"Malgré toutes ses tares, Sayonara déploie un charme fou : de celui de ces grandes et belles romances, un peu mièvres, qui résistent au destin (à la Autant en emporte le Vent). Sayonara a beau démarrer laborieusement et accumuler les images d'Épinal, il finit par vous avoir à l'usure, et son coté Harlequin teinté d'exotisme de pacotille, parvient finalement à s'estomper pour laisser enfin transparaître ses belles intentions et sa nature généreuse." Doorama "Il y a une belle romance dans le film, celle entre le soldat incarné par Red Buttons et Miyoshi Umeki. Moins glamour que le couple vedette ils sont pourtant plus authentique et touchants (le scénario osant poser le problème de la barrière de la langue dans leur cas) dans leurs hésitation et maladresse. Leur sort s'avère réellement tragique et les deux acteurs seront judicieusement récompensés des Oscars des meilleurs seconds rôle masculins et féminins." Chroniques du Cinéphile Stakhanoviste "Le principal intérêt du film est dans la description de la découverte de la culture japonaise par les yeux blasés puis peu à peu fascinés de Marlon Brando. (...) Ce dernier en fait un peu trop en gradé yankee méprisant des coutumes nippones, accent du sud traînant bien appuyée et remarques désobligeantes à foison. On devine bien que le but est de marquer la différence avec son changement à venir mais c'est néanmoins forcé." Chroniques du Cinéphile Stakhanoviste "Sayonara est un flamboyant mélange de drame, de romance et d'exotisme mais aussi, ouvrons les yeux, marqué des sceaux du ridicule et de la caricature." Doorama "Délicieusement naïf, mais indécrottablement impérialiste (Marlon Brando ressemble à s'y méprendre au Jean Dujardin de OSS 117 Rio ne Répond Plus... fous rires garantis pour son personnage de "Yankee Crétin" qui n'a rien à envier aux lapins du même nom...), Hollywood déploie toute l'artillerie lourde pour satisfaire les besoins du peuple : clichés, cartes postales, stéréotypes, raccourcis psychologiques, violons et eau de rose sont donc au programme, le tout bien platement mis en scène ! Nous aurons même droit à un Ricardo Montalban inoubliable en faux-japonais aux yeux tirés ! " Doorama "Le film a un énorme problème, son histoire d'amour est totalement insipide. Brando agace tout d'abord en américain rouleur de mécanique (...). L'alchimie ne fonctionne avec Miiko Taka la faute également à la prestation de cette dernière dont on peut soupçonner un apprentissage en phonétique des dialogues anglais tant elle semble désincarnée. Les séquences de séduction où elle demeure lointaine et conserve son mystère de star (elle est la danseuse vedette d'une revue célèbre) sont réussie mais dès la séquence de déclaration il y a un fossé entre la décontraction de Brando et la touche trop énamourée de Miiko Taka." Chroniques du Cinéphile Stakhanoviste |
Synopsis usuel:
Le Major Lloyd Gruyer, un héros de la guerre de Corée, en poste au Japon, soutient avec fermeté l’interdiction des mariages entre les soldats américains et les femmes japonaises. Jusqu’au jour où il rencontre un amour qui ébranlera toutes ses convictions et tous ses préjugés. |
Sortie ciné : 26 mars 1958 Box office France: 1 641 646 entrées cinéma Academy Awards 1958 : 2 récompenses. Oscar du Meilleur acteur dans un second rôle (Red Buttons), Oscar de la Meilleure actrice dans un second rôle (Miyoshi Umeki). |
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