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Aperçu des critiques de la presse Internet (sortie vod, dvd Les Enfants du silence):
"Les Enfants du Silence est un grand classique sur le milieu des sourds." Allée des Curiosités "Superbement interprétée, Les Enfants du Silence est une histoire d'amour intense et poignante, doublée d'un véritable plaidoyer pour la tolérance." Télé Loisirs "La rencontre entre Marlee Matlin, ravissante malentendante qui a obtenu un oscar et William Hurt est électrique et embrase tout le film." L'Obs "L'interprétation de Marlee Matlin est brillante dans le rôle de cette jeune femme isolée et blessée." Allée des Curiosités "La réalisation est un peu vieillotte, la photographie à l'ancienne, mais les acteurs sont bouleversants et le thème du film profondément intéressant." Sens critique - Centauremalin "Les Enfants du Silence est un film à Oscar. C'est-à-dire un grand film, qui propose un sujet fort mais qui reste très classique dans sa façon de développer ce propos. Le thème est ici la surdité, ou comment le handicap influence le destin d'un couple." Sens critique - ϻεωɳɑrυ "Le film de Randa Haines, plutôt que de ne s'attacher que sur la naissance d'un amour, mise davantage sur le devenir d'un couple où l'un des deux amants est handicapé. Comment la surdité pèse dans les relations, comment surmonter la différence pour en faire un atout. C'est là la grande force du film, proposer une étude du couple durable, une vision de l'après conquête. Les évènements qui jalonnent la vie commune de James et de Sarah ne sont pas surprenants, les temps forts se trouvent finalement assez prévisibles. Mais le fait que les personnages provoquent un certain attachement fait que l'on ne décroche pas de leur histoire. William Hurt est comme à son habitude charismatique, il insuffle beaucoup de vie et d'émotions dans un personnage complexe, fou amoureux mais parfois dépassé par sa façon de communiquer avec la femme qu'il aime." Sens critique - ϻεωɳɑrυ "Dans son ensemble, le film a vieilli : coupes de cheveux, style général, tout rappelle les années 1980. Mais ce qui m'a dérangée est plutôt l'attitude du professeur. Il affiche un profond narcissisme qui fait surface à chaque instant. « Ton boulot, on s'en contrefout, j'ai le mien » déclare-t-il avec virulence à Sarah. Parlant d'une femme influente, il commente : « Elle est fantastique, et après ? Elle a tout, l'instruction, un métier formidable mais il y a une chose qu'elle n'a pas : moi ». Au-delà de ses paroles égocentriques, James montre aussi une forme d'irrespect pour les décisions de Sarah. On a l'impression en permanence qu'il est prêt à tout pour la forcer à parler, en jouant le psy et l'amant à la fois mais sans aucune considération pour ce qu'elle désire et éprouve. Lorsque Sarah se confie un peu sur des événements liés à son blocage avec le langage, il s'emporte et hurle « Je m'en fous, je m'en balance ». Bref, James est un personnage qui m'a paru désagréable et dominant à l'excès tout au long du film. On ne peut aider quelqu'un, à mes yeux, que lorsque la personne est prête à être aidée et consciente d'avoir un problème. Mais Sarah a-t-elle un problème ? Et veut-elle réellement parler ? Rien n'est moins sûr…" Allée des Curiosités |
Synopsis usuel:
James Leed est un novateur dans sa profession. Il est professeur pour enfants sourds et ne fait preuve d’aucune compassion. Il pense et parle librement, aborde tous les sujets tabous et obtient des résultats qui surprennent ses collègues et supérieurs hiérarchiques qui l’estiment et l’admirent. L’arrivée de Sarah, née complètement sourde, va représenter un défi pour le jeune professeur. Vite amoureux d’elle, il va découvrir une femme qui refuse tout compromis. |
Sortie ciné : 18 mars 1987 Box office France: 2 422 536 entrées cinéma Academy Awards 1987 : Oscar de la Meilleure actrice (Marlee Matlin). |
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