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Aperçu des critiques de la presse Internet (sortie vod, dvd Creepshow):
"Creepshow est une œuvre culte des années 1980, et de la carrière de Romero. Les plus : Cinq histoires variées, très fun, beaucoup d'effets spéciaux, rythmé, un casting en or. Un bémol : la première histoire plus classique sans doute." Dark Side Review "Dépourvu de la dimension politique et sociologique des meilleurs films de Romero, Creepshow est un hommage à l'esthétique et à l'esprit des E. C. Comics, ces bandes dessinées horrifiques des années 50 et 60 qui ont construit l'imaginaire de plusieurs générations de garçons américains passionnés de fantastique et de science-fiction, parmi lesquels Stephen King (scénariste et acteur dans Creepshow), Tom Savini (spécialiste des effets spéciaux sanglants) et Romero lui-même. Le cinéaste adapte à l'écran de façon convaincante les couleurs criardes, les situations macabres et les silhouettes grotesques caractéristiques des E. C. Comics, dans cinq sketches forcement inégaux reliés par des intermèdes animés." Les Inrocks - Olivier Père "Contrairement aux nombreuses anthologies horrifiques qui le précèdent et le suivent (notamment la mauvaise séquelle dont il sera affublé qui en est le plus cuisant exemple), Creepshow ne rate que rarement le coche. Mis sur pied par de vrais passionnés désireux de rendre hommage aux comics, le métrage n'accuse que de menus défauts et, malgré un vieillissement relatif, Creepshow mérite toujours son statut d'œuvre culte." Cinéma Fantastique "En 1982, année où il sort Creepshow (aux U.S.A.), George A. Romero est au summum de sa popularité. (...) Stephen King est lui aussi en pleine gloire. (...) Tous les éléments sont ainsi réunis pour rentrer dans l'histoire du cinéma de genre : un réalisateur burné et doué (Romero), un scénariste inspiré (King), un maitre des effets visuels (Tom Savini) et un humour au vitriol." On rembobine |
Synopsis usuel:
Un père confisque à son petit garçon un magazine d'épouvante et le jette dans la poubelle. Le vent fait tourner les pages et cinq histoires s'en échappent: "La fête des pères", "La mort solitaire de Jody Verrill", "Un truc pour se marrer", "La caisse" et "Ca grouille de partout". |
Sortie ciné : 22 juin 1983 Box office France: 384 587 entrées cinéma |
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