Aperçu des critiques des Internautes (sortie dvd et blu-ray Dernier recours):
"Dernier recours est un western transposé en film noir avec des gangsters du temps de la prohibition."
"Dernier recours a le même scénario que le western Pour une poignée de dollars."
"Dernier recours joue avec brio sur une ambiance de western, de poussière, de chaleur sous le soleil, et alterne des moments de calme avec de très bonnes fusillades."
"J'ai bien aimé l'ambiance et les scènes d'action de Dernier recours. C'est une véritable hécatombe ! "
"Plein de gangsters qui se tirent dessus, Dernier recours est un film qui n'a pas d'autre prétention que de vouloir divertir. Bruce Willis est bien. Walken cabotine un peu."
"Dernier recours est un sacré bon film d'action, ça flingue à tout va, et l'ambiance est assez noire."
Avis contre :
"Dernier recours manque de personnalité. (...) Walken joue de façon caricaturale. (...) A par la scène de gunfight finale qui déchire un max, je n'ai pas accroché à cette histoire de truands : le scénario est beaucoup trop mince. (...) J'ai regretté que Christopher Walken soit si peu à l'écran."
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Synopsis usuel:
Jericho n'est pas le lieu de villégiature rêvé. Délabrée, dépeuplée, cette ville perdue du Texas est pourtant une véritable succursale de Chicago. En pleine période de prohibition, deux gangs se livrent une guerre "paisible", émaillée de quelques rixes sans trop de gravité. D'un côté, le gang de Doyle. De l'autre, celui de Strozzy. Au milieu, un shérif aussi corrompu que laxiste, qui ferme volontiers les yeux sur le trafic d'alcool de contrebande auquel se livrent les irlandais de Doyle et les italiens de Strozzy. Tout aurait pu se dérouler dans le meilleur des mondes si un inconnu, John Smith, n'était arrivé à Jericho, venant d'on ne sait où et cherchant ou fuyant on ne sait quoi. Premier constat de celui qu'interprète Bruce Willis : il est le malvenu. Pour avoir jeté un simple coup d'œil à la maîtresse de Doyle, les sbires de ce dernier n'hésitent pas à détruire sa voiture et à le menacer. Aussi effronté et insolent que bon tireur, Smith décide donc de s'installer dans le village, et commence à établir des relations avec la maîtresse de Strozzy dans le seul but de mener à bien sa stratégie : dresser les uns contre les autres. Il signe là le coup d'envoi d'une guerre d'une violence rare, au milieu de laquelle Doyle va sortir son joker, un dénommé Hickey...
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