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Aperçu des critiques de la presse Internet (sortie dvd Sayônara):
"Sayônara est un face-à-face inédit entre un robot et une humanité déclinante. Un film de science-fiction domestique à la beauté foudroyante." Les Inrocks "Sayônara est d'une ambition thématique assez dingue : imaginez un script qui, non seulement, raconte le futur d'un pays irradié au point d'organiser méthodiquement l'exode de ses citoyens, mais aussi s'interroge sur ce qui constitue l'humanité elle-même." Paris Match "Le réalisateur aborde par l'absurde la clivante question de l'immigration : les Japonais de souche deviennent les premiers à pouvoir quitter le pays (...). L'élégance de l'écriture et de la mise en scène permettent à Sayônara de traiter les sujets abordés de manière particulièrement fine." Culturopoing "Tour à tour, le réalisateur japonais aborde les thèmes complexes de la séparation, de l'émigration, du terrorisme (les centrales ont explosées suite à de la malveillance), de l'amour, de la transmission culturel entre Hommes puis entre Hommes et machines, de la maladie, de la nature, … A la fois ambitieux, le film se perd dans le traitement parfois succinct, parfois longuet de ces différentes thématiques, car nous n'avons pas l'impression d'un tout unifié, mais de chapitrages involontaires." Ciné Asie "L'action se transforme en contemplation immobile, en cérémonie crépusculaire, telle une agonie douce, presque sereine. Fukada filme le vent dans les graminées, la prairie, le ciel. (...) Et la fin, source d'espérance dans l'humanité, est sublime." Télérama "Le film repose beaucoup sur des discussions (...). De l'aveu du réalisateur lui-même sous le ton de la boutade, il ne se passe pas grand chose dans le film." Ciné Asie "Un androïde handicapé ? C'est l'une des rares trouvailles de ce pensum, uchronie aux images sépulcrales qui nous achève à coups de longs dialogues explicatifs et vains, quand ils ne sont pas risibles." L'Obs "La question reste : « Comment définir l'humanité ? », et la réponse suggérée par Fukada concerne principalement un certain rapport au temps. (...) la mémoire des humains est sélective. La situation extrême dans laquelle ils se trouvent les invite à se ressaisir de leur passé, qui toujours s'inscrit dans une histoire collective. Les souvenirs de Tania font ainsi ressurgir l'Histoire de l'Afrique du Sud, pays où elle est née et qu'elle a quitté enfant suite à des représailles envers les Afrikaners après l'Apartheid. Lorsqu'elle se demande, après avoir remué ce passé, « étions-nous victimes ou agresseurs ? », c'est toute l'importance de la conscience historique qui se dit : les Japonais qui voient leur pays devenir inhabitable sont-ils victimes ou agresseurs ? " Critikat |
Synopsis usuel:
Dans un avenir proche, le Japon est victime d’attaques terroristes sur ses centrales nucléaires. Irradié, le pays est peu à peu évacué vers les états voisins. Tania, atteinte d’une longue maladie et originaire d’Afrique du Sud, attend son ordre d’évacuation dans une petite maison perdue dans les montagnes. Elle est veillée par Leona, son androïde de première génération que lui a offert son père. Toutes deux deviennent les dernières témoins d’un Japon qui s’éteint à petit feu et se vide par ordre de priorité, parfois selon des critères discriminatoires. Mais doucement, l’effroi cède la place à la poésie et la beauté. |
Sortie ciné : 10 mai 2017 |
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