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Aperçu des critiques de la presse Internet (sortie vod, dvd Sunset):
"Laszlo Nemes filme un monde qui sombre. Le réalisateur du Fils de Saul peint la veille de la première guerre mondiale à Budapest." Le Monde "Sunset est un film énigmatique et somptueux, une manière de chef-d’œuvre. L'Europe Centrale est à l’apogée de son rayonnement intellectuel et artistique, minée par ses pulsions d’autodestruction. Incrédule, impuissante, Irisz Leiter assiste au choc inévitable de ces deux aspirations qui mène à la guerre et à la ruine. Sunset ou le crépuscule d’une certaine idée de l’Europe qui, jamais, ne renaîtra de ses cendres." La Croix "Troublant et cauchemardesque." Télérama "Le spectateur plonge en immersion avec une jeune femme dans le Budapest des années 1910. On retrouve la patte de László Nemes dans cette fresque historique somptueuse." 20 minutes "À l’aube de la Première Guerre, László Nemes dépeint la métamorphose d’une femme au crépuscule d’un empire, marqué par la cruauté humaine." Le Blog du Cinéma "Sunset éblouit par sa mise en scène immersive et l’atmosphère chaotique générée, mais n’arrive pas à faire oublier la maigreur de son scénario. Si l'actrice principale, Juli Jakab, dispose ici d'un rôle intense, le scénario en vient en effet rapidement à tourner en rond, multipliant les tics au niveau des dialogues (sous forme d'avertissement...) et évitant finalement de donner la moindre clé." Abus de Ciné - Olivier Bachelard "Pas grand-chose n’est clairement déterminé dans ce long-métrage, filmé selon le même système que Le Fils de Saul. Caméra plantée sur la nuque de l’héroïne, environnement flou, personnages impavides, feuilleté bruissant de la bande-son, subjectivité opaque. C’est donc le film d’un monde qui sombre sans qu’on sache vraiment pourquoi ni comment, sinon qu’il est entendu qu’il doive sombrer, et avec lui des personnages préalablement transformés en figures." Le Monde - Jacques Mandelbaum "Malgré ses fulgurances visuelles, la réalisation de Nemes est cette fois au service d’une métaphore un peu fumeuse sur la chute de l’empire austro-hongrois." La Libre "Là où on attendait du cinéaste hongrois László Nemes la même puissance que son premier long-métrage, le film faillit désespérément dans une succession de séquences, peu ou pas convaincantes, dont on peine à trouver un fil conducteur." Avoir Alire |
Synopsis usuel:
1913, au coeur de l’empire austro-hongrois. Irisz Leiter revient à Budapest après avoir passé son enfance dans un orphelinat. Son rêve de travailler dans le célèbre magasin de chapeaux, autrefois tenu par ses parents, est brutalement brisé par Oszkar Brill le nouveau propriétaire. Lorsqu’Írisz apprend qu’elle a un frère dont elle ne sait rien, elle cherche à clarifier les mystères de son passé. A la veille de la guerre, cette quête sur ses origines familiales va entraîner Irisz dans les méandres d’un monde au bord du chaos. |
Sortie ciné : 20 mars 2019 Box office France: 41 875 entrées cinéma |
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