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Aperçu des critiques de la presse Internet (sortie vod, dvd Primal Rage):
"Primal Rage souffre surtout d'un manque d'écriture, et donc d'intérêt pour ses personnages. Mais quelques séquences sauvent la mise, des rapides qui rappellent Délivrance, et des chasseurs qui vont vraiment se faire éclater la gueule... au sens propre (et sans CGI). Gore et antispéciste ! " Sens critique - Kowalsk "Ce que j'ai particulièrement adoré c'est la mise en scène qui ne fait pas dans la dentelle. C'est gore, c'est bien fait et du coup, on en redemande." Sens critique - Bastien M. "Les scènes d'action et d'horreur sont plutôt réussis. (...) On a le droit à quelques scènes bien gore. (...) le shérif est plausible, les chasseurs un peu débiles mais sans plus,... franchement... c'est sympa..." Doc_Ki "Les maquillages et les effets de gore sont plutôt bien réalisés mais malheureusement trop brefs et trop peu nombreux pour justifier de s'affliger le visionnage de ce film." Sens critique - Anthony Sire "Primal Rage est peut-être le film le plus mal réalisé que j'ai vu de toute ma vie. (...) De peur que le spectateur s'ennuie probablement, la caméra saute constamment d'un personnage à un autre, puis sur des éléments du décor parce que pourquoi pas. Tant et si bien que seulement une infime partie des dialogues est délivrée face caméra, leur donnant un côté étrangement artificiel." Sens critique - Anthony Sire "Non seulement le film tente de nous donner une crise d'épilepsie en changeant de plan toutes les deux secondes mais il le fait parfois simplement pour nous montrer la même chose mais sous un angle différent... pourquoi ? On se retrouve ainsi avec une même scène filmée sous quatre, voire cinq angles différents, de gauche, de droite, de devant, de derrière, de loin... non content d'être à deux doigts de la convulsion on se retrouve totalement désorienté à cause d'une spatialisation absolument inexistante." Sens critique - Anthony Sire |
Synopsis usuel:
Perdu dans une forêt des Etats-Unis, un jeune couple voit ses retrouvailles se transformer en cauchemar quand il est inlassablement traqué par une créature terrifiante et légendaire que les Indiens d’Amérique surnomment « Oh-Mah ». |
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