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Aperçu des critiques de la presse Internet (sortie vod, dvd et blu-ray Extrême préjudice):
"Extrême Préjudice (USA 1987) de Walter Hill est un des fleurons du cinéma de la violence des années 1980-1990." Ecran Large - Francis Moury "Nick Nolte en impose sacrément en héros taiseux et fait habilement passer les nuances de son conflit moral à travers l'amitié déçue avec Powers Boothe. On sent la patte de John Milius (auteur de l'histoire, le projet datant du début des années 1970) dans les savoureux échanges entre les deux personnages, tout en amicalité menaçante et testostérone." Chroniques du Cinéphile Stakhanoviste "Nick Nolte s'investira beaucoup dans son rôle, suivant pendant trois semaines un authentique Texas Ranger, reprenant de ce dernier des tics de langages ou bien corporels mais aussi quelques conseils techniques sur les relations entre ce corps d'élite de la police US et les agences de représentants de l'ordre. De plus, il ira jusqu'à perdre une vingtaine de kilos et il apparaît ainsi affûté et particulièrement efficace dans les scènes d'action. Et il est grandement mis à contribution." This is my movies "Extrême Préjudice joue sur deux registres : la confrontation Jack / Cash d'une part, et le microcosme incarné par les mercenaires d'autre part. Cela donne parfois la curieuse impression d'assister à deux films en un, l'un plus rétro et l'autre s'inscrivant dans la mouvance de films plus récents comme Les Chiens de Guerre avec ces hommes sans attaches qui mènent de périlleuses missions aux quatre coins du globe. Tous officiellement morts, ils n'ont plus d'autre raison de vivre que celle de se vouer corps et âme à leur pays. Ils forment une véritable famille." Tortillapolis "Extrême Préjudice est un véritable hommage au grand Sam et à son chef d'oeuvre La Horde Sauvage, le désert brûlant, les flingues qui brillent, un Mexique picaresque, des personnages aux caractères trempés liés par une amitié virile et un respect réciproque, et des impacts de balles de la taille d'une tasse à thé... difficile de nier l'influence du maître." Psychovision "Les mercenaires ne sont que des pions anonymes dont la disparition n'affectera que les membres même de l'équipe. Pas franchement utile au récit, la bande de Paul Hackett sert en quelque sorte à brouiller les pistes puisqu'on ne sait pas vraiment ce qu'elle fait là. (...) La voilà la fameuse horde sauvage du film, sauf que du fait de la présence de Jack Benteen, jamais elle n'acquiert la dimension de sa devancière et c'est dans l'indifférence générale qu'elle se fera décimer. Présentés comme de simples mercenaires, ils mourront comme tels, se voyant privés de tout aspect tragique, sacrifiés sur l'autel du spectaculaire et de l'hommage que Walter Hill a voulu rendre à son aîné. Se plaçant loin derrière les œuvres phares de son auteur (Les Guerriers de la Nuit et Sans Retour), Extrême Préjudice marque un certain essoufflement dans sa carrière, qui se prolongera par la suite de manière nettement plus prononcée." Tortillapolis - Bénédict Arellano "Ce film avait effrayé lors de sa sortie la critique du journal Le Monde qui se demandait en guise de conclusion à son article si Walter Hill n'était pas un cas pathologique tant il éprouvait visiblement de plaisir à filmer la mort." Ecran Large |
Synopsis usuel:
À Benrey, petite ville frontière entre le Texas et le Mexique, Jack Benteen rencontre bien des difficultés dans sa lutte contre le réseau de drogue monté par son ami d’enfance Cash Bailey. Jack reçoit l’aide d’un commando militaire, envoyé tout exprès par le Pentagone, groupe mercenaires commandé par l’impitoyable Hackett et exclusivement composé de soldats, anciens du Viêt-nam. En fait, Hackett contrevient aux ordres de ses supérieurs. Il souhaite reprendre à son compte le trafic de drogue de Cash. Bon gré mal gré, Jack se retrouve ainsi obligé de pactiser pour un temps avec Cash. Tandis que la ville devient le théâtre d’une bataille rangée entre trafiquants et mercenaires, les deux anciens amis vont enfin régler leurs différents. Seul à seul, ils s’affrontent en duel… |
Sortie ciné : 12 aout 1987 Box office France: 90 307 entrées cinéma |
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