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Aperçu des critiques de la presse Internet (sortie vod, dvd et blu-ray Skin):
"L'Amérique des suprémacistes blancs est passée au crible à travers l'incroyable parcours du repenti Bryon “Pitbull” Widner. (...) dans un univers nihiliste, derrière toute cette folie et ces mensonges précipitants la société vers l'obscurantisme, Guy Nattiv nous laisse entrevoir une lueur d'espoir en la personne de Bryon que l'amour poussera à se remettre en question." Sens critique - RAF43 "Guy Nattiv prend le parti pris d'humaniser le personnage du skinhead. La rencontre de ce dernier avec Julie va faire rejaillir une part d'humanité insoupçonnée, lui faisant prendre conscience de la gravité de ses actes. (...) Skin est une oeuvre sans concession et dérangeante dans sa manière de nous confronter au pardon." Le Bleu du Miroir "Jamie Bell est totalement époustouflant dans ce rôle de skinhead." Sens Critique - frankwhite "Skin emprisonne ses personnages dans un milieu claustrophobe, sale et brutal, qui n'épargne aucun éclat de violence." Le Bleu du Miroir "L'Amérique des laissés-pour-compte, l'Amérique des déshérités, la désertification économique et la crise identitaire amenant la désolation sociale la plus sordide nous sont jetés au visage sans concession aucune." Sens critique - RAF43 "Guy Nattiv fait partie d'une nouvelle génération de cinéastes américains qui tentent d'exister entre blockbusters et hégémonie des séries télé." Télérama "Skin ne parvient pas à émouvoir comme il aurait pu (...). Quel dommage, parce que Jamie Bell crève l'écran dans ce rôle complexe et surement difficile à aborder, tout comme Danielle MacDonald qui est formidable, ou encore les excellents Vera Farmiga et Bill Camp qui incarnent les « parents » de Bell. Un casting incroyable." Zickma "Le réalisateur Guy Nattiv : « Quand je ai rencontréJamie Bell la première fois, il ne comprenait pas pourquoi je m'intéressais à lui. Il se trouvait trop maigrichon, pas adapté pour le rôle, mais je savais qu'il pouvait se transformer, qu'il avait ce qu'il fallait avec sa palette de jeu incroyable, et qu'il était capable de beaucoup d'investissement pour un tel sujet. Je croyais en lui, il fallait qu'il croit en moi, il m'a demandé un peu de temps pour y réfléchir. C'est probablement la présence de Danielle McDonald, qu'il avait vue dans le court, qui l'a convaincue. Il a réalisé que c'était un projet rude mais très sérieux. Il a fait un travail sur lui-même de malade. Il est parti chez Bryon et a vécu avec lui pendant un mois, il a mangé sans cesse pour prendre de la masse, il s'est fait poser des faux tatouages sur son visage pour essayer, il a fait une technique consistant à devenir un animal pour revenir vers l'instinct et se vider de son humanité pour s'imprégner d'un rôle. On en a entendu parler pour Night Call, où Jake Gyllenhaal est devenue hyène pour travailler son rôle. Jamie, ç'a été le requin. Ses yeux sont devenus vides, il sentait le sang, et c'est ainsi qu'il a commencé le film. »" On se fait un ciné "Skin souffre de quelques longueurs." Le Bleu du Miroir "On regrette bien vite le début très physique quand s'enclenche la petite mécanique de la rédemption dans un chemin de croix trop balisé." Sens Critique - Ciné-club de Caen |
Synopsis usuel:
L’histoire vraie de Bryon « Pitbull » Widner, membre d’un gang de néo-nazis obligé d’affronter de terribles conséquences lorsqu’il voudra changer de vie… |
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