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Aperçu des critiques de la presse Internet (sortie dvd et blu-ray Antiporno):
"Nouvelle réalisation de l'inépuisable Sono Sion, Antiporno, sous ses allures de commande et malgré sa courte durée, se révèle être une œuvre unique à la densité palpable." Avoir Alire "Le film prend une forme tour à tour absurde, non sensique et érotique dans une poétique que n'aurait pas renié le Bertrand Blier des grands jours, tant celui de Buffet froid que celui de Tenue de Soirée." Sueurs froides "Antiporno est fou et déroutant dès ses toutes premières secondes, avec ce plan inaugural et subreptice de bagnoles de flics (pourquoi ? Comment ? Hein ? ) enchaîné à une séquence dansée dans les loupiotes baveuses d'une guirlande de Noël. Le cinéma du bouillonnant Japonais n'est pas du genre charentaises et Antiporno le confirme." Film de Culte - Nicolas Bardot "Pour remettre le film dans son contexte, Antiporno est né de la volonté de la Nikkatsu - qui avait developpé de nombreux films dans les années 1970 et 1980 - de relancer un genre typiquement japonais : le roman porno, plus largement nommé pinku eiga, traduit chez nous comme des films à tendance érotique." Fait pas genre "Même si le début vous amène sur le registre pornographique – par définition fait par et pour les hommes, en témoigne cette bande de professionnels désagréables dont la seule activité est d'imposer des décisions aux actrices – Sion Sono s'en débarrasse vite pour nous proposer autre chose de moins unilatéral et de beaucoup plus complexe dans lequel il peint des portraits de femmes. C'est bel et bien d'un plaidoyer pour les femmes dont il s'agit. Pour leur folie, leur splendeur, leur beauté." Fait pas genre - Isir Showzlanjev "Antiporno invitait d'emblée à la prudence : non seulement Sono n'allait sans doute pas concrétiser ici son envie de réaliser un vrai film pornographique, mais le « roman porno », très éloigné des codes du cinéma X, avait surtout pour parti pris d'infuser une dose conséquente d'érotisme soft dans de vraies intrigues dotées d'un vrai propos en filigrane. Le cinéaste allait-il donc mettre du thé vert dans son saké ? Pensez donc : adepte du doigt d'honneur qui sert et qui sidère, Sono n'aime rien tant que de faire l'inverse d'un cahier des charges (...). Et surtout, il y a ici un projet vraiment très personnel, on ne peut plus fidèle à sa réputation de fou furieux chez qui l'humanisme est toujours à guetter derrière la provocation." Courte focale |
Synopsis usuel:
Kyoko, star de la mode, s’ennuie dans son appartement en attendant son rendez-vous avec Watanabe, une rédactrice en chef chargée de l’interviewer. La jeune femme ne cesse de tourmenter la pauvre Noriko, son assistante, qui fait tout pour satisfaire sa patronne. Mais les apparences sont quelque fois bien trompeuses… |
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