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Aperçu des critiques de la presse Internet (sortie vod, dvd et blu-ray Ponette):
"Une enfant de 4 ans perd sa mère. A partir de cette situation violente et irrémédiable, Jacques Doillon construit avec Ponette un film implacable sur la douleur et l'enfermement. A rebours de l'imagerie onctueuse habituelle, il recrée avec force et vérité le monde magique et cruel de l'enfance, un univers secret où les adultes n'ont pas leur place." Les Inrocks "Comment écrire quoi que ce soit sur ce film ? Comment mettre des mots sur l'émotion infinie qui vous envahit dès les premières images ? Comment expliquer que sa petite bouille triste et son désarroi vous broient le coeur ? Comment décrire les larmes qui répondent aux sanglots de Ponette ? " Sens critique - MrsChanita "Une exploration d'une âme humaine en laquelle on se retrouve tous, qui va chercher des parties de nous que nous passons notre vie à cacher et enfouir." Sens critique - IIILazarusIII "Je n'aurai pas la grâce d'un Doillon pour décrire Ponette. On ne peut pas décrire Ponette. Il faut découvrir Ponette, l'écouter, l'accompagner, courir la campagne avec elle, le coeur battant, et vouloir la prendre dans ses bras pour qu'elle ne souffre plus, jamais." Sens critique - MrsChanita "Ponette a souffert à l'époque d'une polémique à double détente autour du choix de Jacques Doillon d'en confier le premier rôle à la très jeune (4 ans) Victoire Thivisol. Si la décision très critiquée du jury de la Mostra de Venise de lui décerner son prix d'interprétation féminine a effectivement de quoi laisser pantois, on a surtout reproché à Doillon de lui avoir fait interpréter une gamine dont la mère vient de mourir, avec tout ce que cela pourrait entraîner de traumatismes pour la fillette." Libération - Erwan Higuinen "Doillon : « A Venise, Ponette a reçu quatre prix - cela fait beaucoup d'irresponsables, n'est-ce pas ? - dont l'un a été décerné par l'Office catholique : si j'avais mal agi, il me semble que ces gens-là m'auraient envoyé l'Opus Dei. On ne contraint pas Victoire, on ne la mate pas. Elle avait suggéré : « Quand je ne serai pas très bien, tu pourras m'engueuler mais... pas trop fort. » Tout, entre nous, est passé par la confiance et la négociation. Lorsque Victoire n'est pas d'accord, je le sais : elle m'appelle Jacques Doillon." L'Express "Le scénario tient sur deux lignes : Petit Poney a 4 ans, et a perdu sa maman, ne veut pas y croire. Elle veut rien faire, juste retrouver sa maman. Rien qu'avec ça, le réalisateur a l'espoir de faire un film qui tient la route une heure et demi ! Résultat, il nous filme quoi ? Des enfants qui jouent, la notre qui pleure, qui prie, qui rêve. Ce qui forme un film mou, répétitif et un poil longué ! (...) C'est miiiignoooooon...mais pas suffisant (...) Mais en plus du scénario, il y a un autre problème de taille : la performance des acteurs. Autant la performance de la jeune Victoire Thivisol nous éblouit par moment, la majeure partie du temps, on n'est pas du tout convaincu. (...) Le père est d'un ridicule immonde en particulier quand il parle. Car l'ultime défaut du film sont bien les dialogues. Niais comme jamais, et d'une crédibilité frôlant le néant. (...) on parle beaucoup de religion dans le film, et même les enfants entre eux... ENTRE EUX ! Depuis quand on parle religion à 4ans, et depuis quand on y connait quelque chose, personnellement Jésus m'était inconnu bien avant l'entrée en primaire." Sens Critique - Alex La Biche |
Synopsis usuel:
Ponette a 4 ans lorsque sa mère meurt dans un accident. Cette absence lui est insupportable. Elle lui parle, elle l’attend, elle la cherche, avec une certitude, un entêtement de plus en plus grands. Personne ne pourra la convaincre de ne pas la retrouver. |
Sortie ciné : 26 septembre 1996 Box office France: 271 221 entrées cinéma |
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