|
|
|
vod
dvd blu-ray
|
|
Aperçu des critiques de la presse Internet (sortie dvd et blu-ray Les Bravados):
"Les Bravados d'Henri King est le dernier grand western du réalisateur et peut-être bien son meilleur, tout compte fait. Ce film réalisé par un cinéaste âgé de pratiquement 70 ans est d'une beauté plastique constante, d'une virulence et d'une violence impressionnantes mais, surtout, est construit comme un authentique itinéraire spirituel qui s'achève par un déni tragique." Ecran Large - Francis Moury "Doté d'un casting solide, Les Bravados est un western au ton original qui pose en filigrane le problème de la justice individuelle." Télé 7 jours "Sur un très bon scénario signé Philip Yordan qui a adapté un roman de Frank O'Rourke, Henry King ajoute sa patte très chrétienne qui donne de la profondeur à ce western. L'église joue un rôle important dans le film. Le film s'achève d'ailleurs par une scène de confession." Rue du Ciné "Le thème du conflit de l'individu avec la communauté humaine et ses valeurs est incompréhensible en profondeur sans connaissance de la littérature et de la pensée religieuse et philosophique américaines classiques du 19ème siècle. Mais le miracle du cinéma d'Henri King est de le rendre universel et accessible charnellement, sans nul autre besoin que la rigueur absolue de l'alliage entre l'idée et sa transcription filmique." Ecran Large - Francis Moury "Voici un western que je qualifierais de « moderne ». Moderne non par le thème qu'il aborde qui, soit, n'est pas nouveau dans le genre, mais par l'étonnante manière dont est filmée cette chasse à l'homme, brute de décoffrage. Soit, les histoires de vengeance sont légions dans le western, mais ce qui le distingue du tout venant, c'est la non justifications des actes de Jim ainsi que la froideur absolue avec laquelle il élimine les uns après les autres les coupables potentiels. Pas de doute, nous sommes en plein western vigilante et il sera difficile (...) de ne pas penser au Justicier dans la Ville de Michael Winner, qui ne viendra que treize ans après. D'ailleurs le ton du film est plus proche du film noir que du western classique, et en cela il étonne aussi. Henry King prend ici le temps de poser ses personnages, le contexte, et dévoile lentement l'histoire (...) laissant le spectateur intrigué et sans repère une bonne partie de son film, n'expliquant pas de suite les motivations de cette vengeance implacable. C'est d'ailleurs selon moi la meilleure partie du film, celle où les justifications n'ont pas lieu. Elle étonne par son âpreté et sa sécheresse et si l'on pourra trouver la construction un peu terne avec son côté « poursuite/exécution » et rebelote, c'est aussi de cette sorte d'épure que le film tire sa modernité." Tortillapolis "Après une demie heure consacrée à la mise en place, tendue, mystérieuse et assez prenante, le film devient plutôt ennuyeux dès que la course-poursuite s'engage. Le portrait des quatre bandits est assez terne, le rythme se fait languissant et l'on finit par trouver le temps long surtout que le scénario n'apporte plus grand chose d'original hormis le retournement final, et même si les scènes violentes d'exécutions évoquées ci-avant s'avèrent magistrales." Dvd Classik |
Synopsis usuel:
(Résumé de Dvd Classik, Erick Maurel - le 6 septembre 2014) Jim Douglass (Gregory Peck) arrive dans la petite ville de Rio Arriba ; il souhaite assister à la pendaison qui doit se dérouler en ces lieux où la potence est en train d’être construite, celle destinée à quatre malfrats ayant tenter d’attaquer la banque, tuant par la même occasion l’un de ses employés. Suspicieux de la venue de cet étranger, le shérif interroge Jim sur ses véritables motivations et lui confisque ses armes le temps de son séjour en ville. Dans les rues de la cité, on le prend pour le bourreau venu pour exécuter les quatre prisonniers mais il détrompe vite les habitants ; d’ailleurs le véritable guillotineur arrive peu après. A l’hôtel où il s’installe, Jim rencontre Josefa (Joan Collins), une femme qu’il a autrefois beaucoup aimée ; lorsque cette dernière lui demande des nouvelles de son épouse, il évite de lui répondre. Jim demande au shérif à voir les futurs exécutés ; ce sont Lujan (Henry Silva), Bill (Stephen Boyd), Ed (Albert Salmi) et Alfonso (Lee Van Cleef). Il les scrute attentivement avec un rictus de haine sur le visage mais les quatre hommes semblent ne pas le connaitre. Peu après, alors que tout le monde s’est rendu à l’église pour un office religieux, l’homme qui se faisait passer pour le bourreau fait délivrer les bandits. Un posse s’organise et Jim demande à en faire partie : il n’a qu’une idée en tête, rattraper et tuer les fugitifs. |
Sortie ciné : 1er octobre 1958 Box office France: 1 902 891 entrées cinéma |
|
|