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Aperçu des critiques de la presse Internet (sortie vod, dvd et blu-ray Sans mobile apparent):
"Pour son film, Labro s'offre un casting de choix, l'inspecteur Carella est interprété par un Jean-Louis Trintignant toujours impeccable dans les personnages tordus (il n'arrête pas de se laver les mains tout au long du film), alors que Jean-Pierre Marielle est une fois de plus délectable dans le rôle d'un gentleman anglais. (...) Les années septante on été pour la France l'occasion de signer quelques bons petits polars (et pas seulement des Delon et Belmondo), et Sans Mobile apparent fait certainement partie des meilleurs, et le mérite en revient en grande partie à Monsieur Trintignant, car son interprétation efface avec brio un scénario des plus conventionnels et une réalisation un peu coincée." Psychovision "Disciple et ami proche de Melville, grand connaisseur du film noir, Labro s'écarte du modèle classique américain pour réaliser un film empruntant à plusieurs courants du cinéma populaire de l'époque. Et c'est en cela - notamment - qu'il est passionnant. Au giallo, il prend le côté whodunit sexuel sous tension. Au cinéma français, l'intrigue chabrolienne qui vire au drame pervers et petit bourgeois (la froide présence de Stéphane Audran n'y est pas pour rien). Et au polar américain, il emprunte la figure du flic autoritaire et sociopathe. L'inspecteur Harry, sorti la même année, n'est jamais loin." Regard critique "Aujourd'hui, ce film reste chéri par les cinéphiles et reste un véritable modèle du genre, dans lequel l'immense Jean-Louis Trintignant campe un inspecteur de police monomaniaque, froid, cynique, hargneux, antipathique et obstiné." Homepopcorn "Sans Mobile apparent est l'exemple type d'un cinéma commercial qui n'existe plus, celui où la logique industrielle n'avait pas encore supplanté l'artisanat à visage humain dans lequel pouvait s'exprimer des manifestations de folie douce, de naïveté et de bricolage sympathiques, et réunir des personnalités artistiques d'horizon divers prêtes à s'amuser ensemble." Olivier Père "La dimension carnavalesque et satirique du film le situe entre les polars de Mocky et les brûlots de Yves Boisset réalisés à la même époque et qui ne s'embarrassaient pas de nuances avec des seconds rôles et des situations grotesques ridiculisant les institutions, la magistrature, le monde politique et la bourgeoisie provinciale, forcément magouilleuse et partouzarde." Olivier Père "La réalisation de Philippe Labro est des plus solides : sens du rythme et du plan efficace. Il profite allègrement des décors extérieurs de Nice." Rue du Ciné "La mise en scène de Labro fonctionne à plein régime, tantôt sobre et classique, tantôt originale et percutante. Si l'inspecteur Carella domine d'une tête les personnages présentés, les rôles féminins ne sont pas en reste et offrent au film un aspect sensuel bienvenu, qui contraste avec l'ambiance générale assez suffocante et pessimiste." Le petit cinéma de Stéphane |
Synopsis usuel:
À Nice, un mystérieux assassin tire sur un promoteur immobilier. D’autres meurtres suivent, tout aussi inexplicables, car sans mobile apparent. L’inspecteur Carella remonte alors dans le passé des victimes et découvre peu à peu une vérité guère reluisante… |
Sortie ciné : 15 septembre 1971 Box office France: 1 290 572 entrées cinéma |
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