|
|
|
vod
dvd
|
|
Aperçu des critiques de la presse Internet (sortie dvd La Femme qui s'est enfuie):
"Petite douceur repartie du Festival de Berlin 2020 avec le prix de la mise en scène, il se dégage de ce nouveau Hong Sang Soo un charme infini et un parfum d’apaisement. (...) l’auteur construit une réflexion intelligente sur l’union, l’amour, la cohabitation, mais aussi l’amitié et la manière dont les liens persistent, au travers du souvenir, qu’il soit heureux ou source de souffrance." Abus de Ciné - Olivier Bachelard "Ténu et plein de grâce, le cinéma du Rohmer sud-coréen, qui ne cesse d’ausculter les sentiments amoureux, se pare ici des atours de la sororité - les hommes ont du mal à y trouver leur place - et de la mélancolie pour décrire des amours déçues et des vies solitaires auxquelles seule la contemplation de la nature apporte un peu de réconfort." La Croix - Céline Rouden "Il y a des jeunes femmes et des cafés déserts, des parapluies et de l'alcool… Comme d'habitude, le 24 e opus du Coréen Hong Sang-soo ressemble aux précédents. Comme d'habitude, il s'avérera légèrement et délicieusement différent." Les Echos "À chaque nouveau film de Hong Sang-soo, on évolue en territoire connu. De l’alcool à foison, un récit construit au gré de rencontres impromptues, un rythme envoûtant où langueur ne rime jamais avec longueurs, et une mise en images qui bouscule cet envoûtement par des mouvements de zooms aussi inattendus que soudains. (...) Les films de Hong Sang-soo (...) multiplient les questions en laissant le spectateur imaginer les réponses. Voilà pourquoi en apparence si semblables, ils se révèlent si différents." Première - Thierry Chèze "Si cette chronique douce-amère peut sembler bavarde et répétitive, il y a toujours un moment où la vérité et l'émotion surgissent sans crier gare." Le JDD "Aussi délicate soit l’œuvre que construit Hong Sang-soo avec sa muse et compagne Kim Min-hee, à raison de deux longs-métrages par an en moyenne, on peut légitimement se demander si son hyperproductivité ne commencerait pas à lui être dommageable. (...) le Rohmer sud-coréen signe des films comme d’autres sortent leur chien, l’habitude éclipsant parfois la nécessité du geste." L'Obs - Nicolas Schaller "Du verbiage sans queue ni tête qui, au lieu d’exalter le spectateur, génère un climat soporifique et sans intérêt." Avoir Alire |
Synopsis usuel:
Pendant que son mari est en voyage d’affaires, Gamhee rend visite à trois de ses anciennes amies. À trois reprises, un homme surgit de manière inattendue et interrompt le fil tranquille de leurs conversations… |
Sortie ciné : 30 septembre 2020 |
|
|