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Aperçu des critiques de la presse Internet (sortie vod, dvd La chronique des pauvres amants):
"Le film alterne avec talent les petites histoires de couples touchants (les adieux d' Alfredo ou de Mario sont particulièrement poignants) et des séquences de pur suspense : les poursuites remarquablement chorégraphiées ou l'arrestation sèche de Ugo avoisinent les plus grandes réussites du Noir. (...) Passionnant, remarquablement interprété, notamment par un acteur qui débutait dans le drame (Mastroianni) et un athlète de haut niveau, touchant, La Chronique des pauvres Amants est aussi une description froide de ce qu'est le fascisme dans sa médiocrité quotidienne." Avoir Alire "Sans qu'on s'en rende vraiment compte, le film bascule dans le tragique. A voir les témoins de ces crimes gratuits laisser faire et baisser la tête devant les responsables, on comprend un peu mieux comment le mouvement fasciste a réussi à s'imposer." Le Blog du Cinéma "La gangrène fasciste envahit la communauté naturelle, elle contamine l'individu, pèse sur l'amour, sur la jeunesse, et l'on voit comment furent détruites les forces vives d'une génération." Le Monde "Si l'atmosphère de crainte domine, Carlo Lizzani amène la lumière à travers des histoires d'amour nées des bouleversements de cette violence fasciste." Chroniques du Cinéphile Stakhanoviste "Le casting est uniformément excellent. (...) Même l'acteur non professionnel Adolfo Consolini convainc dans le rôle du maréchal-ferrant surnommé Maciste. (...) Lizzani n'en oublie pas pour autant les femmes à qui il offre de beaux rôles, pour la plupart étoffés. Loin de n'être que des potiches comme dans bon nombre de films de l'époque, les dames ont droit à de beaux personnages. Si Antonella Lualdi bénéficie du rôle le plus étoffé et le plus dramatique, elle ne fait pas d'ombre à l'excellente Anna Maria Ferrero. La plupart de ces femmes portent à la fois les espoirs des héros, mais font également preuve d'un courage extraordinaire dans l'adversité." Cinédweller |
Synopsis usuel:
En 1925, à Florence, un jeune typographe, Mario, s’installe dans la même rue que sa fiancée, Bianca. Il se lie d’amitié avec deux militants communistes, Hugo est Maciste. Sans rien ignorer de leur combat politique contre le fascisme, il ne s’y intéresse guère. Un jour, les chemises noires infligent une sévère bastonnade à l’un de ses voisins, Alfredo. C’est l’occasion pour Mario de rencontrer la femme du malheureux, Milena. Les jeunes gens s’éprennent l’un de l’autre… |
Sortie ciné : 13 décembre 1957 Festival de Cannes 1954 : Grand Prix International du Festival. |
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