|
|
|
vod
dvd blu-ray
|
|
Aperçu des critiques de la presse Internet (sortie vod, dvd et blu-ray Détour mortel - La fondation):
"La violence n'est pas forcément explicite, le minimum nous est montré. J'ai trouvé ce film moins gore que l'original. Ici, le suspense prime sur la violence. Le film raconte quelque chose, il a un véritable message social (...). S'il y a de la violence à l'écran, alors cette violence à un but, ce ne sont pas des mises à mort servant simplement à créer de la jouissance aux yeux des spectateurs. Enfin, il y a un peu de ça, mais il y a aussi des sous-textes derrière ces mises à mort. Tout sert à nourrir le propos défendu par le film." Sens critique - Paulsah "Détour mortel - La Fondation est un film d'horreur très plaisant qui ne fait pas "peur" à proprement parler, mais qui raconte quelque chose, tout en étant un divertissement jouissif sortant des sentiers battus." Sens critique - Paulsah "Ce reboot n'est jamais passionant, se trainant un peu dans sa longueur (quasiment 1h50), mais l'ambiance y est bien plus prenante, plus réaliste que l'intégralité de la saga de consanguins des montagnes. Reste le doublage sous lequel j'ai découvert ce film, risible et qui est toujours à deux doigts de faire sombrer le film dans le ridicule." Sens critique - Beerforbear "Ayant touché un peu le fond du baril avec le dernier épisode de la franchise originale, autant en recettes qu'en qualité, le studio Fox a préféré nous offrir un reboot qu'une autre suite. Le scénariste du film original, Alan McElroy, a été engagé pour repenser le concept. Si vous étiez l'un des fans de cette série, il vous faudra immédiatement faire un deuil de ces montagnards difformes et de leur camionnette dégueulasse où ils avaient l'habitude d'entasser des cadavres. Il faut comprendre que cette fois, le magicien Stan Winston n'est pas lié au projet pour y insuffler un côté retro et nostalgique des survivals des années 1970 et 1980." Horreur Québec "Quelle déception que ce nouveau Wrong Turn, reboot de cette franchise qui a curieusement réussi à offrir 6 films (sans compter celui-ci), et qui s'offre donc un lifting qui, on ne va pas se mentir, n'était pas indispensable. Surtout que... Ce n'est pas un détour mortel. Loin de là. Le film s'inscrit dans la démarche de ces nouveaux reboots / relectures d'icones du cinéma d'horreur pour les moderniser et en faire quelque chose de différent (ou d'en faire n'importe quoi, mais je suis mauvaise langue), comme Child's Play ou l'Homme Invisible. Ici, comme pour Child's Play, on est pour moi dans du pur Marketing, de l'opportunisme de producteur de bas étage, qui souhaite utiliser une fanbase pour rentabiliser un film, qui n'a pourtant rien à voir avec la saga d'origine. Bon sang, c'est le même scénariste que pour le premier film de la franchise, tout est fait pour mettre l'amateur des Wrong Turn en confiance, mais quelle belle arnaque ! " Sens critique - Azz l'épouvantail "'J'ai eu la chance voir ce Wrong Turn avec un doublage français d'une médiocrité absolument lunaire qui donne à ce film l'allure du navet qu'il est en dépit de sa volonté de se faire passer pour une production "normale" : si Wrong Turn parvient à faire illusion durant sa première partie ça n'est pas non plus particulièrement marquant, le film profite des codes d'un genre sur exploité, il est donc en pilote automatique et joue la sécurité/facilité." Sens critique - Olivier Antoine |
Synopsis usuel:
Descendants de colons germano-hollandais qui, en 1859, craignent l’effondrement des États-Unis, ses membres cherchent dans les Appalaches à lancer leur propre utopie, « la Fondation ». Ils se faufilent dans les bois avec des masques et des peaux de crânes d’animaux. Et pour protéger leur village des forces extérieures, la Fondation utilise la peur et la violence pour maintenir l’ordre. Les règles très strictes, brutales et sans faille sont suivies d’une manière presque sectaire. |
|
|