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Aperçu des critiques de la presse Internet (sortie dvd et blu-ray Chiens perdus sans collier):
"Chiens perdus sans Collier fait partie d'une catégorie un peu à part dans la filmographie de Gabin, mais néanmoins importante : celle puisant dans un certain réalisme social. (...) Chiens perdus sans Collier est une véritable radiographie de l'époque. Gabin tournera en fait un certain nombre de films dans lesquels sera mis en avant cet intérêt pour le quotidien de gens simples, dont la vie est dépeinte avec justesse." mon cinéma à moi "Chiens perdus sans Collier montre les milieux sociaux défavorisés et les situations familiales qui conduisent des enfants à commettre des actes délictueux. Cet aspect est bien traité et est particulièrement intéressant. Jean Gabin est excellent dans le rôle du juge." Sens critique - Idi-maria78 "On suit le parcours judiciaire de trois jeunes délinquants : Francis, Alain et Gérard. On est forcément touché par leur situation difficile. L'interprétation est un point fort du film avec notamment les enfants qui sont très naturels, très spontanés et très touchants." Sens critique - greenwich "Les performances de Jean Gabin et des jeunes comédiens qui l'entourent sont émouvantes." Télé Loisirs "Entamé le 28 mars 1955 en grande banlieue parisienne à Provins puis à Conflans-Sainte-Honorine, le tournage est chaleureux grâce à la présence d'une cinquantaine d'enfants sur le plateau. « On parle volontiers du mauvais caractère de Gabin, de son côté bourru, explique Delannoy. C'est vrai qu'il n'est pas toujours à prendre avec des pincettes. Mais cette fois, à cause des gosses, il a été merveilleux de compréhension. J'ai eu la révélation de sa profonde humanité. J'ai appris à aimer les hommes pour ce qu'ils gardent d'enfance en eux. Gabin est de ceux-là. »" mon cinéma à moi "C'est entendu, Delannoy n'était pas un génie. (...) A sa sortie, un critique nommé François Truffaut écrivit un article incendiaire contre le film : « C'est ainsi que Delannoy a dirigé ces enfants : pauvres acteurs d'occasion que l'on est tenté de gifler tellement ils sont mièvres et faux... Ce n'est pas un film raté, c'est un forfait conforme à certaines règles que l'on devine aisément : faire un gros coup en s'abritant derrière l'étiquette de la qualité. » Méchant, le François, et un peu injuste mais il faut se replacer dans le contexte du cinéma français des années 50 où les Delannoy, Duvivier, Cayatte et compagnie se complaisaient dans un cinéma populaire un brin démagogique et moralisateur. Bizarrement, aujourd'hui, leurs films ont un côté désuet qui ne manque pas de charme et qui témoignent, à leur façon, d'une vision de la société française de ces années-là." Sens critique - 6nezfil "Très decevant pour ma part. Le portrait de juge pour enfants dépeint par Delannoy est d'un mièvre assoupissant. L'histoire est plutôt molle du genou et puis tellement peu en rapport avec la réalité. Edulcoré à l'excès et ennuyeux." Sens critique - Alligator |
Synopsis usuel:
Jovial, attentif, le juge pour enfants Lamy est foncièrement bon. Il ne croit pas plus à la vertu des coups qu’à celle des pénitenciers et il ne punit pas. Il pense que chez un enfant, il y a toujours quelque chose à sauver. Francis, un « dur » malgré ses 15 ans, né de père inconnu, orphelin d’une mère démente, flanqué d’un grand-père gâteux et d’une grand-mère alcoolique, a volé des portefeuilles dans le vestiaire d’un stade… |
Chiens perdus sans collier est un film en noir et blanc. Sortie ciné : 21 octobre 1955 Box office France: 3 905 504 entrées cinéma |
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