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Aperçu des critiques de la presse Internet (sortie dvd Février):
"Intimiste et contemplatif, Février est un éloge merveilleux à l'authenticité et au renoncement à la modernité. Proprement sublime." Avoir Alire "Toute une vie s'écoule sous nos yeux. Lente et violente. Entre immobilisme et ellipses fulgurantes, entre réalité triviale et rêveries opaques. On entre dans l'intimité de cet enfant, de cet homme, de ce vieillard, qui ne font qu'un. Ce personnage, inspiré à l'auteur-réalisateur par son grand-père, on comprend qui il est, résigné et pourtant libre dans sa tête. Et c'est une humanité entière, simple et bouleversante, qui nous est donnée à voir et nous subjugue. Par la magie du cinéma." Bande à Part "Le jeune cinéaste Kamen Kalev brosse le portrait d'un homme simple et solitaire dont le rythme est calé sur celui de la nature." Le Monde "C'est compliqué. Compliqué de partager ce qui fait la puissance d'émotion du film de Kamen Kalev, imparablement dès les premiers plans et sans jamais faiblir tout au long du film. La beauté ? Oui, sans doute. Mais le mot est imprécis et, en l'occurrence, il semble faible. C'est quelque chose de plus profond, qu'on rechigne à définir par une apparence formelle. Une vibration intérieure de chaque instant, qui suggère sans les énoncer des échos avec les sentiments de chacun, vous, moi, tout le monde." Slate - Jean-Michel Frodon "Février est composé en trois époques. L'enfance, la vie adulte, la vieillesse. Le personnage central est interprété par trois acteurs différents. Le film accueille des éléments historiques, des séquences oniriques, des environnements divers. Pourtant, malgré cette construction composite, il impressionne par le sentiment de continuité qui en émane." Slate - Jean-Michel Frodon "Le film dépeint, sous la forme d'un triptyque, une solitude se perpétuant à travers les âges, renfermant en elle-même un secret : la reconnaissance de soi comme partie prenante d'un environnement, le consentement tacite à l'ordre naturel, l'acceptation d'une condition rurale faite de cycles, assimilable à un éternel retour des choses. Pour cela, Kamen Kalev recourt à une grammaire non verbale : celle de la silhouette humaine rapportée au paysage, à ses reliefs et à ses étendues, et du corps face aux éléments. Ainsi Février tient-il aussi bien de l'étude plastique sur l'homme élémentaire que du livre d'heures se déclinant selon les moments du jour, les états de la lumière." Le Monde - Mathieu Macheret "L'immersion atteinte permet au spectateur de naviguer dans ce paysage comme on se perd dans un songe. En être extirpé pour atteindre le second temps du film est presque une déchirure. C'est tout à la fois une réussite et le symptôme d'un problème d'équilibre pour tout le reste du film. Petar devenu jeune adulte, le verbe s'immisce tout à coup dans un récit qui en était jusque là très économe. Il est presque étrange d'entendre prononcer des mots qui semblaient jusqu'ici évidents même si sous-entendus." Le Bleu du Miroir - Florent Boutet "La troisième partie, où le héros est vieillissant, est à nos yeux moins stimulante. C'est une partie où l'on dit et explique davantage, là où le sens du mystère et de la retenue de Kalev faisaient tout dans les premiers segments. Février est néanmoins porté par une remarquable puissance poétique et raconte avec finesse la solitude de son héros, quel que soit son âge." Le Polyester |
Synopsis usuel:
Aux confins de la Bulgarie rurale, Petar traverse les saisons et le temps de sa vie humble : le travail, la terre, les brebis… À l’écart du monde des hommes, il suit son chemin et accepte son destin sans regret. |
Sortie ciné : 30 juin 2021 |
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