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Aperçu des critiques de la presse Internet (sortie vod The Wife):
"The Wife, c’est avant tout Glenn Close, Glenn Close et Glenn Close. La performance de la comédienne est clairement l’argument premier de cette histoire sur une sorte de Colette des temps modernes. Face à elle, un excellent Jonathan Pryce qui parvient à survivre à l’empathie immédiate qui va droit à sa partenaire, et qui réussit à imposer un personnage à la fois détestable et attachant." Mondociné "La puissance du jeu de Glenn Close lui donne une réalité charnelle - un ressentiment qui n’en finit pas de couver sous le masque de l’épouse sereine, auquel Jonathan Pryce, brillant, diabolique et dérisoire, oppose l’essence même de la suffisance masculine." Le Monde - Thomas Sotinel "Dans ce rôle cousu main, Glenn Close est électrisante. Le film, en dépit de maints enjeux passionnants, ne l’est pas. En effet, si la peinture d’un milieu littéraire aveuglé par sa propre misogynie fascine (voir ce retour en arrière avec une Elizabeth McGovern fabuleuse en auteure désillusionnée), il en va autrement du récit, qui cumule les invraisemblances." Le Devoir - François Lévesque "Le scénario tombe dans la facilité des flashbacks pour expliciter les choses (avec Annie Starke, fille de Glenn Close, pour l'interpréter jeune), use de quelques grosses ficelles dans les seconds rôles (...), et gère un élément majeur sans véritablement l'assumer comme une surprise ou une évidence. (...) Mais le film se rattrape dans l'écriture nettement plus fine et précise du couple. (...) Jonathan Pryce ne démérite pas et même s'il reste sous les radars, derrière Glenn Close, il est excellent dans la peau de ce vieux lâche. La manière dont il incarne ce personnage difficile, et glisse en une seconde de l'empathie d'usage à la violence la plus sournoise, est glaçante." Ecran Large - Geoffroey Crété "Le film reste raide, laissant voir les coutures du scénario." Le Monde - Thomas Sotinel |
Synopsis usuel:
Un matin de 1992 dans le Connecticut, Joe et Joan Castleman, après une nuit pleine de tension, apprennent que Joe, écrivain, vient de recevoir le Prix Nobel de littérature. En attendant leur départ pour Stockholm au mois décembre, Joe et Joan reçoivent leurs amis, leur famille et des journalistes pour célébrer cette nouvelle, que Joe a encore du mal à croire. Quelque temps plus tard, alors qu'ils sont dans l'avion qui les mène à la capitale suédoise, Joe et Joan sont abordés par Nathaniel Bone, un écrivain qui se propose d'écrire la biographie de Joe. |
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