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Aperçu des critiques de la presse Internet (sortie vod, dvd et blu-ray Fisher King - Le roi pêcheur):
"Fisher King, conte humaniste (...) met en place une opposition binaire : un clochard « doudingue » nommé Parry (Robin Williams) et la super star Jack Lucas (Jeff Bridges), lunettes noires et limousine ; d'un côté le sous-sol miteux d'un immeuble et de l'autre le sommet d'un gratte-ciel tout en verre. L'histoire repose sur la rencontre improbable de ces deux extrêmes." Il était une fois le cinéma "Fisher King est un conte moral, une comédie qui chante sur tous les tons un hymne baroque, et heureusement parfois méchant, à l'amitié et à la rédemption." Le Monde "Les deux acteurs sont au sommet de leur art, Jeff Bridges interprète à la perfection son personnage de Jack, un homme qui doit se défaire de tous les démons de son ancienne vie pour renaître des ténèbres. Robin Williams quand à lui brille de tout son éclat, il livre une prestation magistrale, (...) dans le rôle d'un ancien professeur plongé dans le malheur et la folie. Son rôle est à la hauteur de son talent, tant dramatique que comique, comme par exemple la scène ou il se balade nu comme un vers dans Central Park." Focus Cinéma "Pour la première fois, Terry Gilliam n'a pas écrit lui-même le scénario de Fisher King (...). Le projet était visiblement ambitieux, il est patent que Terry Gilliam désirait réussir à la fois sur le plan artistique et commercial (son film précédent Münchausen avait été un échec) et mettant sur pied un grand film riche aux connotations fantastiques. Il semble vouloir revisiter le mythe du Graal mais surtout celui de Don Quichotte qui lui permet de nous gratifier de très belles scènes comme celle où il transforme l'immense hall de la Gare centrale de New York en une gigantesque piste de danse." L'Oeil sur l'Ecran - Lui "Après trois films à gros budgets (Bandits Bandits, Brazil et Le Baron de Münchausen), Terry Gilliam, sur un scénario de Richard LaGravenese (Sur la route de Madison, L'Homme qui murmurait à l'oreille des chevaux), revient à une histoire simple, sans effets spéciaux, qui lui valut le Lion d'argent à la Mostra de Venise 1991, l'Oscar du meilleur second rôle féminin pour Mercedes Ruehl et lui a surtout permis de retrouver la confiance des producteurs après l'échec commercial de Münchausen." Il était une fois le cinéma "L'histoire est celle de deux personnalités totalement opposées (...). Les deux hommes vont se lier d'amitié et chacun va apporter à l'autre des réponses à leur mal-être. On retrouve de l'humour, de la tristesse et beaucoup d'émotion. Sur ce point, le film semble trouver un assez bel équilibre. Il n'évite pas quelques longueurs et je n'ai pas été suffisamment charmé par le personnage féminin dont Henry est amoureux alors qu'il est toujours à la rue." Sens critique - batman1985 |
Synopsis usuel:
Jack Lucas anime à New York une émission de radio agressive, suivie par un grand nombre d’auditeurs, parmi lesquels un certain nombre de détraqués. L’un d’eux, Edwin Malnick, prenant au mot une diatribe de Jack contre les « yuppies », s’arme d’une carabine et abat plusieurs clients d’un bar chic, dont l’épouse d’un jeune professeur, Henry Sagan. Bourré de remords, Jack abandonne son émission et sombre dans l’alcoolisme… |
Sortie ciné : 2 octobre 1991 Box office France: 692 213 entrées cinéma Academy Awards 1992 : Oscar de la Meilleure actrice dans un second rôle (Mercedes Ruehl). |
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