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Aperçu des critiques de la presse Internet (sortie The Power of the Dog):
"Jane Campion signe une grande oeuvre d'amour violent (...), un drame familial inscrit dans un cadre de western." Ciné Serie "Ce western psychologique est Lion d’argent à Venise." Paris Match "Le film alterne les points de vue de Phil (Benedict Cumberbatch), un homme tellement réprimé qu’il en est devenu monstrueux, de George (Jesse Plemons), qui fait face à l’adversité avec une bonté désarmante, de Rose (Kirsten Dunst), que Phil pousse à l’alcoolisme, et de Peter (Kodi Smit-McPhee), le fils au physique et aux manières délicates que Phil méprise avec une ostentation révélatrice." Le Devoir - François Lévesque "Kristen Dunst parvient à se métamorphoser d’un rôle à l’autre, ici blonde, éperdue et presque quelconque physiquement en femme qui se noie dans l’alcool et l’ennui. Mais tous les interprètes s’effacent un peu devant la puissance du jeu de Benedict Cumberbatch, qui brûle tout sur son passage tel un feu de brousse. (...) The Power of the Dog ne remet pas en cause le socle des empires masculins toxiques. La grande réalisatrice en montre ici les effets désastreux sur nos sociétés de façon subtile, magistrale et perverse." Le Devoir - Odile Tremblay "L’irrésistible beauté du film recèle une puissance dramatique que seule l’immensité des paysages du Montana semble pouvoir contenir. Jane Campion détricote patiemment les codes du western pour tirer son film, telle une chaman, vers un envoûtement." Le Bleu du Miroir - François-Xavier Thuaud "The Power of the Dog est une histoire de cow-boys qui désacralise la masculinité triomphante (...). (...) si certains regrettent un manque de rythme, la majorité des critiques saluent l'ampleur et la beauté plastique de ce film qui questionne les liens fraternels et la virilité avec subtilité." Trois Couleurs "Puissant et cruel récit sur la transmission du Mal, The Power of the Dog dépeint avec horreur et noirceur le masculinisme au milieu de paysages somptueux sublimés par la photo de Ari Wegner et la BO stridente de Greenwood. Ça manque de rythme, mais Campion frappe fort." Alexandre Janowiak "Tous les éléments riches de sens et d'implications sont maniés trop maladroitement pour produire l'impact durable qu'ils pourraient (et devraient) produire. La très belle musique composée par Jonny Greenwood pour le film est également un atout à double tranchant, car si elle aide à unifier les différentes pièces dont se compose le film, elle est parfois trop insistante, et ses dissonances ajoutent trop à des rythmes et compositions déjà bancals. En somme, le nouveau Jane Campion présente des interprétations exceptionnelles de la part de tous les membres de la troupe, et il raconte une histoire plus intéressante que la plupart des films portés par une telle panoplie de stars, mais il fait aussi l'effet d’être un peu une occasion manquée." Ciné Europa |
Synopsis usuel:
Originaires du Montana, les frères Phil et George Burbank sont diamétralement opposés. Autant Phil est raffiné, brillant et cruel – autant George est flegmatique, méticuleux et bienveillant. À eux deux, ils sont à la tête du plus gros ranch de la vallée du Montana. Une région, loin de la modernité galopante du XXème siècle, où les hommes assument toujours leur virilité et où l'on vénère la figure de Bronco Henry, le plus grand cow-boy que Phil ait jamais rencontré. Lorsque George épouse en secret Rose, une jeune veuve, Phil, ivre de colère, se met en tête d'anéantir celle-ci. Il cherche alors à atteindre Rose en se servant de son fils Peter, garçon sensible et efféminé, comme d'un pion dans sa stratégie sadique et sans merci… |
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