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Aperçu des critiques de la presse Internet (sortie vod La Tête à l'envers):
"Avec un sens très autrichien de l'humour (longs plans fixes qui cherchent une forme de sidération comique ; personnages exagérément antipathiques dont l'humanité se révèle en creux), Josef Hader livre sa version masculine de Toni Erdmann, soit une plongée à la fois amusée et sérieuse dans la dépression d'un personnage autocentré, en conflit avec l'humanité." Première - Christophe Narbonne "Comique à l'humour corrosif très connu en Autriche, Joseph Hader signe un premier film plus poétique que vachard sur les affres de la cinquantaine masculine." Paris Match - Fabrice Leclerc "Josef Hader signe une comédie burlesque et corrosive sur la dépression de l'homme occidental." La Croix "La Tête à l'envers met en évidence le besoin qu'a l'homme de retrouver un projet motivant pour remonter dans sa propre estime (...). Mais ce sont avant tout ici les difficultés de communication dans le couple et la différence d'âge qui sont les moteurs d'une intrigue où le cynisme est omniprésent. Et si on peut voir dans cette comédie certaines paraboles politiques, l'une des phrases prononcée par un personnage féminin résonnera sûrement dans l'esprit de beaucoup : « je ne peux pas être avec quelqu'un qui ne me parle pas »." Abus de Ciné - Olivier Bachelard "Au-delà des particularités de l'humour propre à l'Autriche, qui passe autant par la langue que par la mentalité, La Tête à l'envers constitue un divertissement plaisant, assez proche des comédies pince-sans-rire qui ont fait la fortune d'Albert Dupontel en France. Au détail près que la tension nerveuse du comédien français est remplacée ici par une forme plutôt amusante d'apitoiement sur soi." Critique Film "Satire décapante du quotidien de la classe moyenne viennoise, le film parvient à la fois à nous émouvoir et à nous faire rire. Dans sa dégringolade, le banni croise des personnages savoureux, tel ce forain qui après l'avoir martyrisé à l'école devient son seul ami ou ce policier mélomane, sensiblement plus passionné par l'opéra que par les statistiques de la délinquance. Quant à sa compagne psy (excellente Pia Hierzegger), elle est si tourmentée par un désir tardif de maternité qu'elle ne prend pas immédiatement la mesure des événements, avant de goûter à son tour aux dérapages incontrôlés." France info - Pierre-Yves Grenu "Issu du one-man-show, le comédien, scénariste et réalisateur Josef Hader gratte la classe moyenne là où ça fait mal. Tiendrait-on le Nanni Moretti autrichien ? Las, son autodérision fait long feu, et l'acrimonie de son personnage d'intello aigri contamine tout, au détriment des rôles secondaires et d'un film qui s'alourdit à vue d'œil." L'Obs - Nicolas Schaller "Les gags de cette comédie sont peu inspirés, sa noirceur est grise tendance gris clair tellement elle craint la moindre trace de mauvais esprit, et sa méchanceté est relativement gentillette, à l'image de l'écriture sitcom de chacun des personnages. Si vous vous attendiez à un peu de mordant, passez votre chemin. Le film, industriel et impersonnel, n'a rien d'iconoclaste ou de percutant. Pour le poil à gratter, on repassera..." Film de Culte - Nicolas Bardot |
Synopsis usuel:
Critique de musique classique réputé, Georg, la cinquantaine, est licencié par son rédacteur en chef pour motif économique, le journal ne pouvant plus assumer son salaire. Encaissant difficilement le coup, il n’ose avouer la nouvelle à sa femme, Johanna, une psychiatre plus jeune que lui, très préoccupée par son désir d’enfant. Georg fait semblant de continuer à aller au travail. Bientôt saisi par une irrépressible soif de vengeance, il commence par s’attaquer à la voiture de son ex-employeur. L’entreprise punitive prend vite des proportions démesurées. |
Sortie ciné : 28 mars 2018 Box office France: 10 623 entrées cinéma |
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