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Aperçu des critiques de la presse Internet (sortie vod, dvd et blu-ray L'Enfant du diable):
"Le film se place dans deux traditions à la fois : celle des maisons hantées, dont la référence est La Maison du Diable de Robert Wise (1963) ; celle des enfants-fantômes, dont la référence est l'extraordinaire Les Innocents de Jack Clayton (et qui engendrera plus tard Sixième sens et Les Autres). Ce ne sont pas forcément les catégories de films d'horreur que je préfère, mais il faut le reconnaître assez vite : le film fout la frousse. ! Essentiellement grâce à une mise en scène bien faite, qui ménage quelques effets de surprise par la seule force du montage et des mouvements de caméra (pas de gore ici)." Plans américains - Pierre "The Changeling n'est pas verni : il est bêtement réintitulé en version française L'Enfant du Diable, alors qu'il n'y est jamais question de Satan. (...) The Changeling est à première vue une banale histoire de maison hantée. Mais progressivement, l'intelligence d'un scénario bien ficelé qui parvient à nous tenir en haleine jusqu'à la fin, la mise en scène très simple mais appliquée du sympathique faiseur derrière tout ça, et surtout, l'interprétation impeccable de George C. Scott, en font au bout du compte un film assez remarquable." Il a osé "Le film de Medak possède tout ce qui fait d'un film de maison hantée un vrai grand film. Une musique superbe et inquiétante, des acteurs irréprochables (mention spéciale pour Scott évidemment), un scénario classique mais mené avec brio, et surtout des scènes d'anthologie, telles la séance de spiritisme particulièrement impressionnante et éprouvante ou encore la découverte de la mansarde au suspense haletant. Medak joue avec sa caméra de façon remarquable avec des prises de vue peu communes… Pendant plus d'1h40, on est pris dans le tourbillon d'une histoire pourtant déjà vue et revue mais les acteurs, la réalisation et surtout l'environnement sonore finissent de nous envoûter. Un chef-d'oeuvre." Paperblog - Djswan23 "Gros carton au box-office américain en son temps mais assez snobé dans l'Hexagone, sans doute à cause de son titre français hors-sujet et racoleur, L'Enfant du Diable passe auprès de ceux qui le connaissent pour un simple succédané de Amityville (Stuart Rosenberg, 1979); et pis, c'est tout. Mais un visionnage récent vient décrédibiliser cette idée selon laquelle ce film de maison hantée du début des années 1980 ne serait qu'un banal et oubliable maelström. Pas si vite donc. Non seulement le scénario de Russel Hunter, qui évoque autant Edgar Allan Poe que Richard Matheson dans sa volonté de faire le lien entre la peur gothique et moderne, s'avère plus substantiel que la moyenne mais surtout son efficacité visuelle demeure, aussi bien dans la mise en scène inventive de Peter Medak que dans le montage malin de Lilla Pedersen. Son efficacité sonore, aussi (les bruitages, la musique, les voix). En somme, pas la peine d'en faire trop pour faire peur ou marquer les esprits." Chaos Reign "L'Enfant du Diable va dans une enquête en abordant un thème politique ambitieux. Mélanger ainsi épouvante et policier / politique pourrait être un frein, et effectivement ce dernier sujet n'est pas très profond. Mais l'important est que Medak parvient à s'y aventurer d'une façon limpide, sans choquer et sans nuire aux autres considérations. L'Enfant du Diable reste du début à la fin un film fantastique, et loin de compter parmi les plus mauvais. Ce n'est pas la grande frousse façon La Maison du Diable, mais c'est assurément une œuvre efficace car intelligente à tous les niveaux." Tortillapolis "Seule véritable ombre au tableau : les méandres du scénario sur ce-qui-est-arrivé-au-fantôme-avant-qu'il-ne-meurt. C'est une constante du genre : on s'en fout total, et le film tombe aussi dans ce travers. Il n'en reste pas moins qu'il a plein d'autres atouts, au premier rang desquels son acteur principal. J'adore les "gueules" du cinéma (Charles Bronson, James Coburn, Lee Marvin), mais George C. Scott, pour moi, c'est pas exactement cette catégorie. Je le placerais parmi les acteurs dont le seul visage est capable de raconter une histoire, avec par exemple Christopher Walken. Ils sont si expressifs et fascinants que les filmer en gros plan suffit à montrer quelque chose d'intéressant." Plans américains - Pierre |
Synopsis usuel:
Un compositeur dont la femme et la petite fille viennent de mourir dans un accident s’installe dans une maison isolée ou quelqu’un ou quelque chose cherche a entrer en contact avec lui. |
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