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Aperçu des critiques de la presse Internet (sortie vod Bad Dreams):
"Rythmé par la musique d'Electric Youth, Bad Dreams tente de nous induire un état de transe. Scott Burns signe la photographie du film, aux magnifiques teintes bleutées. Il est aussi responsable des effets spéciaux présents dans les nombreuses scènes de rêves du récit, qui emploient une inquiétante imagerie rappelant ce que décrivent les victimes de paralysie du sommeil. Le montage du film accentue l'onirisme de l'ensemble." Horreur Québec - Marc-Antoine Labonté "Certes, la première partie de Bad Dreams peut sembler un peu faible (...), cependant la suite du métrage opère un changement de direction véritablement passionnant où romance et science s'entremêlent, le tout sur fond de thriller. Ajoutez à cela une excellente bande-son électro assurée par Electric Youth et Pilotpriest et vous obtenez cet OVNI cinématographique qui ravira les aficionados d'atmosphères mystérieuses directement héritées de David Lynch." Terreur Vision "Le film d'Anthony Scott Burns est particulier, car il n'emprunte pas le chemin habituel des films de genre, il y a une ambiance particulière, franchement efficace, puis cet aspect contemplatif est très plaisant dégageant parfois un peu de poésie." Le Coin des critiques ciné "En suivant le « slow-burn horror » qui pour moi a été popularisé par le brillant It Follows il y a quelques années de ça, Bad Dreams suit un schéma qui change de ce que l'on voit dans le cinéma d'horreur. Il installe son climat, ses personnages avant de réellement nous plonger dans ce qu'il y a de plus terrifiant ici." Breaking News "Bad Dreams n'est pas un film de peur mais plutôt un film sur la peur, une oeuvre qui capte cet instantané de pures paralysies nocturnes, ce moment indicible qui semble préoccupé par une peur commune, universelle chez tous les sujets." Le Mag du Ciné "Ce n'est pas un hasard si les cartons qui séparent les différentes parties du film ont pour titres les quatre archétypes jungiens. L'inconscient collectif servirait alors d'espace à l'action du film, caractérisant la peur des personnages comme une peur universelle et ces figures comme le mal en nous que l'on craint de voir prendre le contrôle. La toute fin du film divisera à coup sûr, provoquera les rejets mais il s'agit avant tout d'une invitation à réfléchir davantage à ce que l'on vient de voir, à réinterpréter le film à la lumière de cette conclusion." Film de Culte - Robert Hospyan "Bad Dreams a des allures de rêve éthéré : on y avance lentement, doucement, dans une sorte de pénombre, ou plutôt un brouillard persistant. Bien entendu, le côté visuel du film a été particulièrement bien travaillé pour créer cette atmosphère de rêve éveillé. (...) Tout cela est fort agréable, et on progresse lentement, en compagnie des acteurs, à la découverte de ce mystérieux phénomène. (...) mais à force d'échafauder un scénario relativement plausible, mais assez complexe, on en vient à égrener les minutes et à se demander comment le scénariste va conclure toute cette histoire. Et si l'on évitera de donner trop de détails, on atteint malgré tout un point où le cinéphile peut s'estimer légèrement floué par une fin qui pourrait certainement être qualifiée d'abracadabrante." Pieuvre "Bad Dreams [est] désincarné et mécanique. Quelques visions ne suffisent pas pour parler d'imaginaire (...). Les couloirs léthargiques s'accumulent en attendant une fin qu'on imagine plus spectaculaire (visuellement et émotionnellement). C'est le cas, mais c'est trop tard." Le Polyester "Bad Dreams est un film sur les rêves et il embrasse leur esthétique disjointe, misant sur la dilatation temporelle et une perception spatiale très relative… Pour le meilleur et le pire, puisque certains passages du long-métrage s'étirent parfois inutilement. Et si la comédienne principale a un charisme fou, on ne peut pas en dire autant de la gamme de personnages secondaires qui l'entourent." Horreur Québec - Marc-Antoine Labonté "La bande-son omniprésente et quelques éléments relativement opaques pourraient gêner les amateurs d'œuvres à la construction plus classique." Terreur Vision |
Synopsis usuel:
Sarah Dunne, lycéenne, est très mal en point. L'adolescente a beaucoup de mal à dormir et son sommeil, peuplé de paysages cauchemardesques, est perturbé par d'inquiétantes figures. C'est alors qu'elle tombe dans les couloirs de son lycée sur une affiche promotionnelle qui vante les mérites d'un institut du sommeil qui propose de rémunérer ses patients potentiels. Sur place, elle fait connaissance avec d'autres participants du programme expérimental avant de participer aux premiers tests cliniques. Certains des intervenants viennent à l'institut depuis plusieurs années. |
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