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Aperçu des critiques de la presse Internet (sortie vod, dvd et blu-ray Le Genou d'Ahed):
"Dans ce pamphlet façon uppercut sur Israel (« un Etat nationaliste et raciste »), et le rôle central de l'armée (attention scène d'anthologie) Nadav Lapid règle ses comptes." Paris Match - Fabrice Leclerc "Sujet à controverse en Israël, cet opus théorique et viscéral explore la difficulté à dire sa colère dans une démocratie souillée." l'Humanité "Prix du jury au Festival de Cannes 2021, son Genou d'Ahed s'impose comme un cri qui ne manque pas de panache ; politique, engagé, radical et singulier. Le cinéaste ne s'est pas calmé. Tant mieux." Le Blog du Cinéma "S'il n'a pas l'étoffe d'une Palme d'or, le nouveau film de Nadav Lapid livre une critique très féroce du gouvernement israélien, avec rage et efficacité." Avoir Alire "Ce film sera un cri de rage. Sur le fond comme sur la forme. Comme cette tirade hallucinante (interprété magistralement par le très impressionnant Avshallom Pollak) sur l'Etat juif « nationaliste et raciste qui abrutit ses citoyens en les maintenant dans l'ignorance et où chaque génération engendre une génération pire encore »." Première - Thierry Cheze "Nadav Lapid est surtout agacé par « l'aveuglement » de ses compatriotes qui s'obstinent à diviser le monde en deux : les amis et les ennemis d'Israël. Lui en a pris conscience en sortant de trois ans et demi de service militaire, une période où « tout avait été façonné pour faire de [lui] un héros ». Il s'est rebellé, s'est exilé un temps en France, avant de choisir le cinéma pour exprimer cette colère qu'on retrouve sous différentes formes dans Le Policier (2011), L'Institutrice (2014), Synonymes (Ours d'or à Berlin 2019) et Le Genou d'Ahed. Tendu, tortueux, exigeant, ce dernier film est intensément révélateur du malaise que traverse la société israélienne d'aujourd'hui." 20 minutes "Le Genou d'Ahed est un film qui vit littéralement sur le fil d'un rasoir, menaçant à chaque nouvelle scène de basculer dans le guignolesque. Pourtant, il se dégage de l'ensemble une cohérence, un message qu'il est difficile d'ignorer : celui d'un auteur qui à chaque projet voit son propre dégoût augmenter, avec un sentiment de révolte grandissant, jusqu'à un trop plein submergeant le plan jusqu'à engloutir tout espoir de dépassement. Cette radicalité formelle, si elle surprend, fascine également dans ce qu'elle propose, jouant avec les corps et une sensualité qui se retrouve reléguée au stade du fantasme, ne s'inscrivant jamais à l'écran, remplacée par la furie du cinéaste." Le Bleu du Miroir "Pourquoi avoir adopté ce style difficilement supportable ? La caméra filme les pieds du visiteur, bascule vers le ciel, traîne dans le désert, fait des virevoltes et transforme un thème politique en récit maniériste exaspérant." L'Obs - François Forestier "Ne pas se fier au titre à la Rohmer. Voici une chose des plus antipathiques. (...) un cinéaste israélien déblatère contre son gouvernement. Cette logorrhée narcissique fatigue. L'acteur est à baffer. Les gogos trouvent ça rugueux, abrasif, confondant film et pierre-ponce. À fuir." Le Figaro |
Synopsis usuel:
Y., cinéaste israélien, arrive dans un village reculé au bout du désert pour la projection de l’un de ses films. Il y rencontre Yahalom, une fonctionnaire du ministère de la culture, et se jette désespérément dans deux combats perdus : l’un contre la mort de la liberté dans son pays, l’autre contre la mort de sa mère. |
Sortie ciné : 15 septembre 2021 Box office France: 31 077 entrées cinéma Festival de Cannes 2021 : Prix du Jury. |
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