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Aperçu des critiques de la presse et des internautes (sortie vod, dvd et blu-ray Prisoners of the Ghostland):
"Prisoners of the Ghostland est un récit complètement azimuté, passablement foutraque, pas toujours abouti, mais qui offrira aux amateurs de Nicolas Cage une récréation bien méritée, l'artiste étant ici entre les mains d'un auteur à la hauteur de sa plaisante démence." Ecran large "Prisoners of the Ghostland est un film-musée : il cherche à jouer avec les codes du film de gangsters, du western, mélangés à des motifs du pays natal de son réalisateur, Sono Sion, mais qui ne parvient pas à se hisser au-delà de ses expositions. Ni le film le réussi ou le plus abordable de Sono Sion, ce curieux objet postmoderne est inabouti, bien qu'il demeure extrêmement riche et fascinant, proposant un mélange détonnant de cultures, abordant les sujets du capitalisme, des conditions sociales, sur fond d'écologie. C'est, dans ce sens, un pur produit de notre époque." Fucking Cinéphiles "Au cours de la dernière décennie, les carrières de Nicolas Cage et de Bruce Willis, deux des plus grosses vedettes masculines des années 1990, sont pour ainsi dire parties en vrille. Or, si le second semble résigné à encaisser des chèques pour apparaître dans des séries Z, le premier multiplie les choix… surprenants. (...) en matière de récit, Prisoners of the Ghostland offre du réchauffé, du moins en théorie. En pratique, le film s'avère tellement bourré de séquences incongrues et de moments bizarres que l'on cesse vite de suivre les grandes lignes pour s'intéresser davantage aux apartés. Là réside l'intérêt, ou enfin l'originalité, du film." Le Devoir - François Lévesque "Prisoners of the Ghostland n'est pas la pépite que j'aurais adoré voir mais c'est aussi sauvage qu'étrange et jusqu'au bout le film tient plus ou moins bien ses promesses. Même pour Cage, je dois avouer que ce film est étrange, mais l'intrigue est assez originale pour tenir le spectateur en haleine face aux aventures de Hero." Breaking News - delromainzika "Prisoners of the Ghostland surprend non seulement par son traitement minimaliste mais surtout par le fait de retrouver Nicolas Cage dans un rôle de justicier prêt à tout et ne manquant pas d'humour. Même si ce film ne révolutionnera pas le genre, il montre une nouvelle fois que Nicolas Cage en passant de blockbusters hollywoodiens à des productions indépendantes n'a rien perdu de sa carrure. Sa présence et son jeu appliqué constitue une valeur ajoutée." Mulderville "Un film de Sion Sono avec Nicolas Cage : la collaboration avait de quoi faire rêver avec, d'un côté, un auteur japonais réputé pour ses excentricités, les libertés stylistiques qu'il se permet, l'ultra-violence qu'il affectionne parfois, et de l'autre, un acteur états-unien reconnu aussi pour ses extravagances, ses performances souvent colériques, déjantées (...). (...) le grand plaisir de Sion Sono comme de Nicolas Cage consiste à briser toutes nos attentes (...), cette collaboration produit exactement les effets escomptés, c'est-à-dire le contraire de ce que nous avions espéré. (...) Nicolas Cage est (...) enfermé dans un costume armé de détonateurs placés au niveau des bras, du cou, et des testicules. Si jamais notre star se laisse aller à l'un de ses typiques accès de colère, si le costume détecte que son bras s'apprête à faire violence à une femme innocente, alors la bombe éclatera (même chose, nous l'aurons compris, pour les testicules). De façon littérale, Sono empêche Nicolas Cage d'être Nicolas Cage, ou du moins d'être le Nicolas Cage que nous sommes venus voir. Pas de rage ici, sinon c'est la mort. Le cinéaste semble ainsi s'amuser à humilier son acteur (en le vêtant d'accoutrements ridicules, en le faisant conduire un vélo rose pour enfants), et à faire violence à son image, Nicolas Cage passant une bonne partie du film à être inactif, étendu sur une civière, mutilé, chaque promesse de violence se soldant par un échec." Panorama Cinéma - Sylvain Lavallée "Un suspense est créé du simple fait du costume orné d'explosifs que le mercenaire doit enfiler. Deux de ces engins sont stratégiquement posés à des endroits où le moindre émoi peut tout déclencher… Ce type d'humour ne sera d'évidence pas du goût de tous, mais on pourra apprécier le plaisir évident que prend Nicolas Cage à en faire des tonnes dans un film où l'approche de Sion Sono mise principalement sur l'exagération. Ces deux hommes étaient faits pour se rencontrer." La Presse.ca - Marc-André Lussier "L'intrigue est on ne peut plus molle : le héros qui s'évanouit trois fois (à chaque fois pendant une journée), une quête fantastique assez timide, un monde déjanté qui ne paraît pas si déjanté que ça étant donné que le monde 'normal' tel que dépeint dans ce film est déjà assez fou et bizarre, des fantômes quasi inexistants, une combinaison exploitée juste pour faire deux trois gags au milieu du film, des conflits peu épicés et des résolutions trop faciles, des personnages pas assez creusés, des flashbacks lourds car bien trop évidents et inutiles. Que d'ennui." Sens critique - Fatpooper "Prisoners of the Ghostland est un melting-pot bordélico-foutraque, porté par un scénario consternant, pour ne pas dire chiant." Sens critique - Renger "Les enjeux sont trop basiques et très mal exploités. Les métaphores semblent vouloir volontairement insulter l'intelligence du spectateur. Les dialogues sont mal écrits. (...) Aucun des acteurs n'a de présence forte à l'écran. Il y a zéro magie entre les acteurs principaux. Ne parlons même pas de psychologie de personnage. (...) Les scènes d'action n'en sont pas. Aucune dynamique, de très mauvaises chorégraphie. Zéro catharsis. À quoi bon ? ! " Sens critique - oeLeo |
Synopsis usuel:
Hero est un criminel notoire. Il est envoyé au secours d’une fille kidnappée ayant disparue dans un univers surnaturel. Au sein de ce territoire qu’on appelle le Ghostland, ils vont essayer de briser la malédiction qui les garde captifs de mystérieux revenants. |
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