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Aperçu des critiques de la presse Internet (sortie vod, dvd The Dark and the Wicked):
"Ce film, dont on peut souligner la photographie sobre mais très efficace, vient s'inscrire dans la tradition américaine de l'horreur et du satanisme à la campagne, sur fond d'histoire de famille." Abus de Ciné - Thomas Chapelle "Le film a l'intelligence de mélanger souvent l'horreur à quelque chose d'autre, afin de faire jaillir les émotions des personnages et ainsi nous agripper sans jamais nous lâcher." Breaking News "Bertino propose un long-métrage intime tourné à même sa propre ferme, et où les thèmes universels de la famille et du deuil se retrouvent au centre du récit. (...) mais Bertino nous propose quelques moments de pure terreur, diablement réussis. Le cinéaste n'a pas perdu la main et joue bien avec nos nerfs pendant ces 95 minutes." Horreur Québec - Marc Boisclair "Dans The Dark and the Wicked, le chagrin est tel qu'il éveille des démons. Il fallait un solide casting pour incarner cette horreur sensorielle-là, et c'est une autre réussite du long métrage. Michael Abbott Jr., minéral, et surtout Marin Ireland, dont le fascinant visage peut se déformer comme sur une peinture de Munch, font des merveilles." Le Polyester - Nicolas Bardot "L'excellente Marin Ireland signe une performance magnétique et de haute volée, troublante en jeune femme traumatisée." Fucking Cinéphiles "Bien qu'elles pourraient parfois sembler un brin ennuyeuses pour les amateurs d'action effrénée, on apprécie les séquences d'exposition et de contemplation rurale ainsi que de longues plages de silence traversées de moments de forte intensité (...)." Terreur Vision "Il est clair que The Dark and the Wicked ne remportera pas l'adhésion totale de par son scénario que certains pourront, à raison, considérer comme « vu et revu » tant il travaille des poncifs du sous-genre du film de possession. Bertino n'ambitionne pas de renouveler ou révolutionner ces codes, mais sa mise en scène en apparence simple sauve la mise tant elle est hautement efficace, offrant quelques beaux moments de frayeur sans avoir recours pour autant aux musiques tapageuses et jump-scares faciles (...)." Fais pas Genre "Bertino n'a jamais l'ambition d'apporter une quelconque profondeur à son propos (on est directement dans le vif du sujet, la ou son premier film prenait le temps d'installer ses enjeux et les relations entre ses personnages), tout en alourdissant plus que de raison sa charrette de séquences horrifique parfois efficaces, mais souvent dérangeantes (et peu inventives), embaumé dans une dimension dramatico-psychologique désespérée au découpage quelconque (pourquoi un chapitrage ? ). Un comble, quand on sait qu'il n'a strictement rien perdu de ses habiletés techniques (sa mise en scène est toujours aussi stellaire, avec un sens du cadre et de l'espace si particulier, cristallisant même à la perfection la belle photographie de Tristan Nyby), ni même de sa faculté à susciter de la tension et des émotions sincères avec très peu d'effets." Fucking Cinéphiles - Jonathan Chevrier "L'intrigue, qui aurait pu être transposée absolument n'importe où, n'intrigue pas mais endort. Ou tue à petit feu." Film de Culte - Robert Hospyan |
Synopsis usuel:
Dans une ferme isolée d’une ville rurale ordinaire, un homme se meurt lentement. Sa famille se réunit pour faire son deuil, et bientôt une ombre se répand, marquée par des cauchemars éveillés et le sentiment croissant que quelque chose de maléfique s’empare de la famille. |
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