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Aperçu des critiques de la presse Internet (sortie Gipsy Queen):
"Le film semble assez familier, mais la formule fonctionne – quoiqu'on ait vu et revu une infinité de montages de séances d'entraînement au cinéma, elles continuent d'être très plaisantes à suivre, et dès qu'enfin la personne qu'on voit s'entraîner monte sur le ring, on a envie de la soutenir. L'absence d'aspect glamour ici rappelle le tout premier Rocky, peut-être, car le type était tellement pauvre qu'il a dû grimper les échelons au pas de course – quoiqu'en l'espèce, c'est encore plus dur pour Ali, car elle doit aussi payer ses factures et gérer des problèmes familiaux – son propre enfant subit un harcelement brutal à l'école." Cineuropa "Il y a des passages sentimentaux qui arrivent comme des cheveux sur la soupe (...). Mais dès qu'Ali envoie son premier coup de poing, ou même la première fois qu'elle frappe un punching ball, après plus de dix ans sans combattre, et qu'on voit son visage s'illuminer, on se dit qu'on peut pardonner beaucoup de choses dans l'impatience d'entendre de nouveau cet appel : "C'est ton round, c'est ta vie ! ". En matière de films de boxe, cette formule est imbattable." Cineuropa "On regrette que l'histoire se fourvoie par moments sur le terrain du feuilleton : les flashbacks illustrant la relation d'Ali avec son père et mettant en évidence son héritage culturel n'étaient pas nécessaires." Cineuropa |
Synopsis usuel:
Chassée de son village natal par son père après avoir interrompu sa carrière de boxeuse professionnelle en Roumanie, Alina, jeune Rom que tous surnomment Ali, fait des ménages au noir dans un grand hôtel de Hambourg pour survivre. La jeune femme partage avec ses deux jeunes enfants, Esmeralda et Mateo, le logement de Mary, une danseuse qui peine à trouver des contrats. Quand elle est renvoyée de l’hôtel, Ali trouve un petit boulot dans le bar de Tanne, qui organise au sous-sol des combats de boxe. Mais elle doit dégoter un autre travail pour s’en sortir. |
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