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Aperçu des critiques de la presse et des internautes (sortie dvd et blu-ray Le Train des épouvantes):
"Le Train des épouvantes est un petit film d'horreur dont le succès en engendra d'autres, parfois plus réussis. Son importance historique est donc indéniable." Avoir Alire "Freddie Francis jetait les premiers jalons d'une longue série de films à sketches produits sous la bannière du studio Amicus. (...) Si l'on est encore éloigné des histoires plus contemporaines qui sortiront dans les années 1970, l'aspect classique, empreint d'horreur gothique, sans doute amplifié par la présence au casting de Christopher Lee et Peter Cushing, tous deux irréprochables, donne un précieux charme à l'ensemble." Terreur Vision - N.F.T. "La Hammer Films reste la maison de production la plus connue dans le domaine du fantastique britannique. Un peu moins renommée, la Amicus n'en a pas moins produit un grand nombre de films qui partageaient assez souvent les mêmes acteurs et techniciens. C'était ainsi le cas de Peter Cushing ou Christopher Lee qui apparaissent justement dans Le Train des épouvantes. Après le succès de ce film, très vite, la Amicus prend l'initiative de produire d'autres films à sketches." Devil Dead "Pleins de malice et de connivence avec le spectateur, les cinq récits proposés au spectateur dans Le Train des épouvantes traitent de sujets variés : on commencera avec « Le loup garou », qui comme son titre l'indique s'avère une classique histoire de loup-garou, globalement toujours traitée sur le mode « gothique » hérité des productions Hammer. Beaucoup plus fantaisiste et même franchement réjouissant, le deuxième segment « La vigne mutante » s'articule autour d'une plante dotée d'intelligence, et farouchement déterminée à se défendre des agressions de l'homme – ce sketch donne l'occasion à Freddie Francis de livrer au spectateur quelques plans vraiment très amusants et mémorables." Critique Film - Mickaël Lanoye "Le troisième sketch, « Vaudou », s'avère une très intéressante plongée au cœur du Vaudou Haïtien, traité sur un mode relativement sérieux, malgré quelques digressions humoristiques (...). Arrivera ensuite l'épisode que tout le monde attendait : « La main baladeuse », mettant en scène Christopher Lee aux prises avec une main tranchée dotée de vie, douloureux symbole de sa culpabilité. (...) ce segment s'avère sans aucun doute l'un des plus amusants du lot, notamment grâce aux séquences mettant en scène la fameuse main récalcitrante." Critique Film - Mickaël Lanoye "Le tout jeune Donal Sutherland est le personnage principal du dernier sketch, un mari qui découvre que son épouse est une vampire. Le tout avec des intermèdes de Peter Cushing, dont le rôle nous sera donné à la fin du film." Sens critique - Boubakar "J'ai trouvé le film très réussi et il sait se faire montre de ses moyens modestes pour proposer des choses au fond assez effrayantes car au bout du chemin se trouve la mort..." Sens critique - Boubakar "Le Train des épouvantes est un film à sketches très moyen malgré la présence d'acteurs de renom. L'histoire sur la plante et celle sur le vaudou sont totalement ratées ; la meilleure est sans aucun doute celle sur la main vengeresse, où Christopher Lee nous livre une excellente prestation en critique d'art arrogant et imbu de sa personnage." Sens critique - Amchi "Le Train des épouvantes est l'un des moins bons Amicus, on a été vraiment déçu par la tiédeur et le manque d'imagination des sketches. (...) l'histoire du critique d'art est la seule qui a un brin d'intérêt, les autres sont bonnes pour la corbeille de l'Amicus." Sens critique - Aude_L "Le Train des épouvantes ne vaut que pour deux choses : la réalisation du récit-cadre, à savoir le voyage en train, qui propose des mouvements de caméra, une photographie mémorable et un certain sens du cadre apte à susciter l'oppression (...). Lorsque les récits enchâssés interviennent et se suivent, entrecoupés de retour dans le train, le château de cartes s'effondre et laisse place à un amateurisme confondant : les segments utilisent la brièveté pour masquer les limites budgétaires d'une production incapable de représenter l'horreur en termes techniques – tout se passe hors-champ – mais également incapable de nous faire ressentir une quelconque peur due, cette fois, à l'élaboration d'une ambiance absente. Nous n'attendons qu'une chose : revenir dans le wagon central dans l'espoir que l'histoire à venir sera plus immersive ; aussi allons-nous de désillusion en désillusion." Sens critique - Fêtons_le_cinéma |
Synopsis usuel:
Cinq voyageurs s’installent dans l’un des comportements d’un train en partance de Londres pour Bradley. Si un sixième, l’énigmatique Docteur Schreck, prend place avec eux, il s’avère vite un compagnon inhabituel, prompt à tirer les tarots pour leur prédire leur avenir. Et ce qu’annoncent les cartes aux passagers tétanisés de terreur n’a rien de très réjouissant… |
Sortie ciné : 14 avril 1971 |
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